Histoire d'une fin (2).

Le fil RSS a du bon lorsqu'on est insomniaque!
Si je plains vraiment cet homme pour son infarctus et ses suites, je constate que vous avez bien trinqué vous aussi et que ce n'est pas fini, puisque vous repoussez l'ouverture de votre nouveau blog à la fin janvier, après des examens pour lesquels je vous sens inquiète.
Un amour qui détruit à ce point, ce n'est plus de l'amour, c'est un sentiment morbide et un acharnement à vouloir sauver des ruines qui risquent de vous tomber dessus et de vous détruire. J'attends de lire la suite mais j'espère que vous le savez maintenant.
Toute mon amitié vous accompagne dans cette tache que vous vous êtes imposée car revenir là dessus doit vous coûter beaucoup.

L'infarctus, la peur de la mort, cela amène au désir de consommation de chairs plus fraîches qui donnent l'impression de pouvoir vous régénérer. Je m'avance déjà un peu...Alors, je me tais et attends la suite...

Beaucoup de chagrin là dedans pour ceux qui vous lisent.
Et que maladies pour lui comme pour vous!
Ce qui aurait dû vous ressouder vous a séparés.
Avoir frôlé la mort lui aura fait penser avoir une seconde vie et l'a envoyé vers les sites pornographiques où il espère trouver (ou a trouvé comme vous l'avez laissé sous-entendre dans un commentaire sur une note antérieure) la vitalité de la jeunesse comme si c'était la sienne qui revenait.

Je vois que les avis féminins se rejoignent ( ne le prenez pas mal, Bernard, c'est seulement une constatation)...
Et, mais je me répète, merci à vous tous pour ces commentaires!