Mais enfin, Aurora! Vous ne saviez donc pas qu'une soumise nettoie par terre avec la langue, qu'elle ne possède rien puisqu'elle est la possession de son Maître! Qu'aviez-vous à redire sur des travaux dans votre (oups, pardon, "son") appartement? C'est vous -même qui auriez dû manier la truelle! C'est ça la vie commune! Et en plus, vous aviez l'outrecuidance d'avoir un fils mollasson et qui prétendait faire de longues études! A l'internat le fils! Et hop! Non mais...
Bernard-2
| 12/31/2015
Mais...vous êtes déjà passé, Bernard! Quand dormez-vous? En tout cas, vous m'avez bien fait rire !!!!!!
AURORA
| 12/31/2015
Dans cette histoire, je suis celle que vous nommez un peu plus haut son amie de plume". Au début, sur le site, je l'ai trouvé très agréable et j'ai beau ne pas être purement BDSM, j'ai pensé qu'il me faisait un peu de charme. Il parlait très, très mal de vous. Son jugement était entièrement négatif, il me donnait même des détails sur vos proches (et sur votre appartement) et il était déterminé à ne jamais vous revoir. A la suite de cette affaire de "dénonciatrice" de vos photos, qu'il n'aurait jamais dû passer en tout état de cause, nous avons eu un moment houleux qui m'a fait demander à mon ami Philippe l'adresse de votre blog. Vous et moi nous sommes rencontrées et j'ai connu vote amoureux de l'époque. Il en a été pris d'une jalousie folle, le maudissant et me demandant des "services" du genre de ne jamais manquer une seule soirée film à laquelle vous m'inviteriez pour que vous soyez le moins de temps possible seule avec l'autre! Si j'ai été un moment euphorique de vous avoir rapprochés, lorsque vous êtes revenue vers lui, j'ai reçu un seau d'eau glacé sur la tête. Du jour au lendemain, il ne m'a plus jamais réécrit, ni contactée. J'ai compris qu'il s'était servi de moi, qu'il m'avait manipulée sans l'once d'une amitié quelconque. J'avais servi, je pouvais donc disparaître. Je vous ai mise en garde alors en vous disant que c'était seulement son orgueil qui avait été blessé et qu'il n'avait eu qu'une idée, c'était celle que vous ne soyez pas avec un autre homme. Cela ne signifiait pas vous aimer, Vous étiez seulement une possession qu'il entendait ne pas perdre et qui lui revenait de droit. Vos retrouvailles ont été houleuses dès le début, j'ai senti que cela ne marcherait pas, et j'ai regretté de vous avoir poussés l'un vers l'autre. Mais sur les pages du blog, vous faisiez un si beau couple... Je n'ai pas suivi de près l'épisode de "vos vacances" puisque je venais d'accoucher mais, et nous en avons déjà parlé en face à face, j'ai anticipé cette fin très vite. Beaucoup de choses tournaient autour de la "vie commune" pour lui, c'était une condition comme magique mais il oubliait toujours que dans une vie commune, on est deux et parfois même beaucoup plus... Et qu'il y a parfois un appartement tout en bordel... Votre histoire ne tenait déjà qu'à un fil. Là, une fois les constatations faites, elle ne tenait plus à rien...Cette fin ne m'étonne pas.. Vous avez toute mon empathie et mon amitié. Ouvrez vite votre nouveau blog et allez vers demain, cela va vous faire du bien d'oublier cette histoire pour rien même si elle a duré des années!
Vous ne saviez donc pas qu'une soumise nettoie par terre avec la langue, qu'elle ne possède rien puisqu'elle est la possession de son Maître! Qu'aviez-vous à redire sur des travaux dans votre (oups, pardon, "son") appartement? C'est vous -même qui auriez dû manier la truelle!
C'est ça la vie commune!
Et en plus, vous aviez l'outrecuidance d'avoir un fils mollasson et qui prétendait faire de longues études!
A l'internat le fils! Et hop!
Non mais...