Nelly Arcan, comme une étoile filante au ciel de la littérature...

bel hommage
encore une découverte..merci AURORA
que dire
que je peux comprends son choix
être maitre de son destin c'est sans doute celà
choisir son départ
belle journée

...Nelly Arcan... ça me fais un choc... souvenirs d'elle à Montréal, je l'aimais beaucoup.

et le "smiley" n'est pas de circonstance, je ne sais pourquoi il s'inscrit d'office.

Aujourd'hui, à Montréal, (et j'ai le coeur à Montréal aujourd'hui) on pleure aussi Pierre Falardeau. Le cinéaste engagé et l'écrivaine lumineuse... à lire ici : http://mahigan.ca/?p=848

La vie, ce qu'elle est devenue, ce qu'elle va devenir justifie et justifiera bien des "effacements".
La dramaturge Sarah Kane, dont il faut lire ou relire "4.48 Psychose" a choisi, elle aussi, de partir à l'âge tendre.
"A mourir pour mourir, je ne ne veux pas attendre
Et partir pour partir, je choisis l'âge tendre...
J'ai vu l'or et la pluie sur les forêts d'automne
Les jardins alanguis, la vague qui se cogne...
(...)
J'ai connu sur mon cou la main nue qui se pose
Et j'ai su, à genoux, la beauté d'une rose.."
Barbara.

"Mais ne vous en faites pas pour moi, j'écrirai jusqu'à grandir enfin, jusqu'à rejoindre celles que je n'ose pas lire." Nelly Arcan.

Je suis conternée. J'aimais beaucoup cet écrivain.