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BDSM POEME : AUTOMNE ...

 

               

 

Rousses feuilles mouvantes

Odeur d’humus

De cuir flambant

Automne

Nostalgique \303\251pilogue

De notre ao\303\273t si vivant

Automne

Douce et docile pente

Vers la brume et le fog

Vers les larmes d’Horus\302\205

 

Mais je dessinerai sur ma peau

Les symboles

De l’\303\251t\303\251 le plus chaud,

Parabole,

Berceuse pour Toi seul

A la male saison,

Quand les brises qui feulent

Emportent la raison.

 

Rousses feuilles flambantes

Cuir odorant

Mes cheveux tant et plus

Automne

Ch\303\242taigne dans sa bogue

Nos souvenirs d’enfants

Automne

Qu’il pleuve ou qu’il vente

Ou bien qu’il tonne d’un son rogue

Ce ne sont que jours en sus,

 

Jours pour nous

Jours de nous.

 

 

 

AURORA | 9/21/2004
aurora, moi aussi je me rejouis, en me promenant le soir, comme ce soir, dans dles parcs parisiens vides de gens car il fait froid, envellopés d'un vieux parka à capuche, humant le parfum de la séve des arbustes apres une courte averse...j'adores les senteurs de l'automne en general...c'est ma saison préféré... trés belle écriture..je vous envie.

mes amitiés à vous, aurora et à votre M.
falo à aurora | 9/22/2004
Saisons en sensations,
Ecoutant sa Nature:
Un bouquet de frissons,
Les émois en culture...
justemoi | 9/22/2004
Marden le menteur Au prix d?un douloureux effort pour eux-même, Gino et Carine Russo ont tout fait pour réconforter les parents du petit David

Sans titre0.bmp Publié par 7928Chevalier le 25/12/2003, 11 Ko






chevalier | 9/22/2004
Vous etes parodie et theatre pour Moi des planqués, des stars et galas des menteurs
je vous conseilles d arreter sinon cette histoire vous causeras prejudice a tous R.I.P. Organisation vous M impressionnez pas j ai traquer 1000 fois plus dur a bon entendeur MM
chevalier | 9/22/2004
Rip And Co Mes Partenaires
STOP.BRISONS LE SILENCE . Agressé et violé des dizaines d'autres enfants, marqués à jamais. contact@signale.internet-mineurs.gouv.fr . Si je peux faire une action je la ferais Rip 7928Chevalier (Message d'origine) Envoyé : 26/12/2003 17:01
Vraiment le monde et fou,j arretes la pour aujourd hui, ce site representes la realité et j ais les boules de voir ses enfants assassinés, je reprendrais mon travail plus tard les premier dossiers sont choquant

J ais fait pleurer ma plume et pas un a ouvert les yeux pas un
chevalier | 9/22/2004
Marden defend les laches
Pascale Escarfail (19 ans)
Pascale Escarfail (19 ans).bmp




Le petit David Geebelen (10 ans) était la fierté de ses parents.
Sans titre.bmp




Catherine Rocher (27 ans)
Catherine Rocher (27 ans).bmp






Elsa Benady (22 ans)
Elsa Benady (22 ans).bmp




Agnès Nijkamp (33 ans)
Agnès Nijkamp (33 ans).bmp




Hélène Frinking (27 ans)
Hélène Frinking (27 ans).bmp






Magali Sirotti (19 ans)
Magali Sirotti (19 ans).bmp




Estelle Magd (25 ans)
Estelle Magd (25 ans).bmp




Isadora Fraenkel (19 ans)
Isadora Fraenkel (19 ans).bmp






Tammy Homolka (16 ans) La soeur de Karla. Droguée et violée dans
Tammy Homolka (16 ans).bmp




Leslie Mahaffy (14 ans)
Leslie Mahaffy (14 ans).bmp




Troy Ward (6 ans)
Troy Ward (6 ans).bmp




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chevalier | 9/22/2004
NOBR>7928Chevalier (Message d'origine) Envoyé : 25/12/2003 23:17

Merci aux policiers!
A la douleur de ce drame, David était en plus leur fils unique, les parents ont dû ajouter les préparatifs de l'enterrement. Celui-ci aura lieu au funérarium de Robermont, le lundi 16 novembre à 15 heures. «Nous devons nous rendre au funérarium, la directrice et l'institutrice de David vont venir nous rendre visite. Mais en tous cas, je voudrais tirer mon chapeau à tous les policiers qui se sont occupés de lui et de nous depuis sa disparition mercredi.



language=javascript>var bMB=true; : 7928Chevalier (Message d'origine) Envoyé : 25/12/2003 23:21
la Meuse du lundi 16 novembre 1998
La PJ de Liège ne désarme pas


Durant tout le week-end, les enquêteurs ont rassemblé des dizaines de témoignages. Ils tentent de les recouper
La Police Judiciaire de Liège ne désarme pas, loin de là, pour retrouver le meurtrier du petit David Geebelen (10 ans). Tout le week-end, des devoirs d'enquête ont été entrepris, essentiellement pour vérifier les dizaines de témoignages qui sont arrivés sur le bureau du magistrat instructeur.

Pour rappel, le petit David Geebelen a été retrouvé sans vie. jeudi après-midi dans une casemate du domaine militaire de la Chartreuse à Grivegnée.

Il avait disparu la veille du domicile familial. David devait aller jouer avec ses copains au complexe sportif de Grivegnée. mais personne ne l'y a vu dans la matinée. L'enfant ne rentrant pas. les parents se sont très vite inquiétés et ont alerté les forces de l'ordre. Des battues ont été organisées, qui se sont soldées par la tragique découverte.

Suite aux multiples appels à témoins lancés dans la presse. plusieurs dizaines de personnes se sont manifestées. Beaucoup de ces témoignages n'ont rien apporté de neuf. Toutefois, la police judiciaire de Liège a recueilli deux témoignages qui pourraient se révéler intéressants.



Contactez les enquêteurs
Le premier vient d'un homme qui affirme avoir vu un garçon d'une dizaine d'années jouer au basket sur le terrain du complexe sportif de la rue Nicolas Spiroux. à Grivegnée. Selon ce témoignage, le gamin se débrouillait bien... tout comme David qui rappelons-le était membre d'un club de basket. Le gamin en question avait les cheveux clairs, coupés courts et portait une veste, avec une bande de teinte bordeaux et rouille. Ce signalement correspond plus ou moins à celui de David.

Le gamin était accompagné d'un homme d'une cinquantaine d'années. Il était grand et mince. Il portait un pantalon gris. une chemise bleue marine et un pull également bleu marine avec un col en V. Signalons immédiatement qu'il se peut qu'il s'agisse simplement d'un père jouant avec son fils. Si tel est le cas. le papa est prié de contacter la Police Judiciaire de Liège (04/232.50.50).. Cela permettra au moins aux enquêteurs de fermer la porte de cette piste.

Le second témoignage provient d'une dame qui faisait partie d'un des deux groupes de 26 personnes qui ont visité le domaine de la Chartreuse le 11 novembre. A 14 heures, elle affirme avoir vu un enfant sortir d'une voiture. Il était accompagné d'un adulte. Les deux personnes ont pris un vélo qui se trouvait dans le coffre du véhicule. Là aussi, il est possible qu'il s'agisse de David. tout comme cela pourrait ne pas être lui et ce. d'autant plus qu'un ami de David affirme l'avoir vu. également à 14 heures, rue des Corbeaux, à Beyne-Heusay. Bref. Toujours pour fermer une porte, les personnes qui se reconnaîtraient sont priées de contacter la Police Judiciaire de Liège. Il va sans dire que les personnes qui auraient vu David entre le mercredi 11 novembre et le jeudi 12 sont également priées de contacter les enquêteurs.

7928Chevalier (Message d'origine) Envoyé : 25/12/2003 23:41
Les enquêteurs ont découvert des cheveux qui pourraient appartenir au meurtrier
Je veux savoir !
Un mois après la mort de David, son père ne sait toujours rien
Mais il garde confiance en la justice
C'était il y a exactement un mois. le 11 novembre dernier, jour de l'Armistice. Des parents fous d'inquiétude s'adressaient à la police de Liège pour signaler la disparition de leur fils unique David âge de 10 ans. Parti jouer au basket avec son vélo le matin, il n'avait toujours pas réapparu en fin d'après-midi.

La machine judiciaire démarra au quart de tour et des recherches furent organisées un peu partout. Malheureusement. le corps sans vie de l'enfant fut retrouvé le lendemain vers 14 heures. dans une casemate désaffectée du fort de la Chartreuse à Grivegnée. Il n'avait pas subi de sévices sexuels mais il portait plusieurs entailles au bras ainsi qu'un coup à la tête qui lui fut fatal.

Ce nouveau meurtre d'enfant provoqua un énorme émoi dans la population. Ils furent d'ailleurs près d'un millier à suivre les obsèques de David. Mais une fois le temps du recueillement

passé, ils sont tout aussi nombreux à réclamer la lumière sur cette affaire ainsi que le nom du coupable.

Un mois après les faits, nous avons rencontré le papa de David qui est. certes bien entouré, mais qui d'abord veut absolument savoir.

Gino et Jean-Denis
« Ce n 'est pas faute de ne pas travailler parce qu'il y en a qui sont sur l'enquête toute la semaine et chaque week-end, explique Jean-Marc Geebelen. Mais il y a beaucoup de suspects, des résultats d'analyses qui tardent. Et ils ont parfois aussi joué de malchance. »

C'est ainsi que le papa défend les policiers responsables de son enquête. Ainsi que la manière dont il est traité depuis le drame: «On s'occupe bien de moi. Je reçois un coup de téléphone quasi quotidien du commissaire de la P.J. Léonard, je vois la juge d'instruction Julémont toutes les semaines. Si cela se passe ainsi, je suis bien conscient que c'est grâce au combat qu'ont mené les parents de Julie et Mélissa. Les mentalités ont changé dans la police et la magistrature. »

Gino Russo et Jean-Denis Lejeune sont d'ailleurs très présents pour soutenir le père et la mère de David : " qui mieux qu'eux peuvent en effet me comprendre? Plusieurs assistantes sociales sont passées par ici (celle du parquet, celle de Child Focus, celle de l'asbl Julie et Mélissa) mais c'est avec Gino et Jean-Denis que je me sens le mieux. »

Mais c'est bien la seule note optimiste car, pour le reste, le moral redescend très fort : « au début, on est motivé par l'enquête, on essaye de s y intéresser pour penser à autre chose. Mais maintenant, je stresse de plus en plus parce que ça n 'avance plus. Mais je ne veux pas relâcher la pression car, pour pouvoir faire mon deuil, j'ai besoin de savoir ce qui s'est réellement passé. »

La fameuse lettre

Informaticien chez Cockerill Sambre, son directeur lui a permis de déconnecter jusqu'après les fêtes de fin d'année. Jean-Marc Geebelen court un peu partout pour régler tous les problèmes. ce qui lui vaut parfois des remarques acerbes: "Même si j'ai l'air froid, la douleur est là. Chacun réagit à sa façon: certains pleurent toute la journée, d'autres se battent. »

De même. la rumeur court toujours concernant une éventuelle fugue de David qui aurait mal tourné. Le premier jour en effet, une radio a relaté la découverte d'une lettre écrite de la main du jeune garçon et retrouvée dans sa chambre: «Oui c'est vrai. C'est une lettre qu'il avait écrite plusieurs jours auparavant et dans laquelle il demandait que ses parents s'entendent mieux. Mais je lui avais répondu, et il n'en n'avait plus jamais reparlé. Quand il n'est pas revenu à l'heure dite. j'ai d'abord cru qu'il voulait nous faire peur. Mais une heure ou deux pas plus. Ce n 'était pas son style de ne pas revenir. C'est pour cela que j'ai parlé de cette lettre au départ à la police. Ensuite, j'ai pensé à un accident, à une chute de vélo dans les bois. mais jamais à un meurtre. Et puis finalement... »

Comme son épouse. Jean-Marc est inconsolable de la perte de son fils. Et il veut que son crime ne reste pas impuni.

Luc Gochel

Jean-Marc Geebelen veut absolument savoir ce qui s'est passé. Pour le moment, son moral est très bas car l'enquête n'avance plus. Photos de Willy Leclercq
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OU EN EST L'ENQUÊTE?
Des cheveux sont à l'analyse ADN
Tous les enquêteurs vous le diront : si une affaire ne se résout pas dans les heures ou les jours qui suivent, vous devenez tributaire du "facteur chance". Et c'est malheureusement ce qui semble se produire dans l'enquête sur la mort de David.

Rappelez-vous, dès le premier jour, deux suspects étaient interpellés et gardés à vue durant 24 heures. Tous les soupçons se focalisaient sur eux. appuyés par divers éléments matériels.

Mais on déchantait vite, les analyses et vérifications commandées d'urgence contredisaient la certitude de départ et il fallait recommencer à zéro.

Ce fut alors l'enquête de voisinage serrée, de l'interrogatoire de tous les copains de David et des appels à témoins diffusés dans la presse : « Nous avons reçu et recevons encore de nombreux appels, raconte un enquêteur. Nous les avons classés par ordre de priorité et la liste n 'est pas encore épuisée. »

D'autres suspects sont ainsi venus garnir les préoccupations des péjistes liégeois: un Bruxellois qui s'accusait du meurtre, un jeune du quartier au comportement bizarre, un toxicomane fréquentant les bois de la Chartreuse, un pédophile sorti de prison et établit à Grivegnée... Vérifications faites, ces pistes n'ont mené à rien.

Il reste pourtant des choses à vérifier. Avec un atout qui se révélera déterminant en cas de découverte du meurtrier. On a en effet trouvé plusieurs cheveux sur le corps de David. Ils sont aujourd'hui à l'analyse ADN. «Nous ne sommes pas sûr qu'il s'agisse des cheveux du meurtrier évidemment. Mais s'ils appartiennent à un suspect cela peut suffire à le confondre. "

Crime crapuleux? Bagarre qui aurait mal tourné? Violent? Pédophile? La palette des suspects potentiels est extrêmement large. Mais les enquêteurs sont loin d'être résignés tout en espérant toujours un coup de pouce de ce fameux «facteur chance» sous la forme, par exemple, d'une dénonciation...




C'était le temps du bonheur, un temps pourtant pas si éloigné. David et ses parents partaient régulièrement pour faire de longues balades avec la voiture familiale. On en profitait pour admirer la nature, courir, faire des photos...
Aujourd'hui, la chambre de David est vide dans la petite maison de la rue de l'Enclume à Grivegnée et ses parents cherchent désespérément à reprendre goût à la vie.


L'ADN : la méthode infaillible des gènes
La technique d'identification par empreintes génétiques a été mise au point il y a une dizaine d'années notamment par des chercheurs britanniques et de l'ULB. Cette technologie vise à analyser l'ADN - spécifique pour chaque être humain - inscrit dans chacune des cellules du corps humain et qui correspond donc à une empreinte génétique spécifique.

Chaque être humain possède un ensemble biochimique composé d'unités appelées gènes. Ces gènes, au nombre de centaines de milliers, déterminent la couleur des yeux et des cheveux. L'aspect de notre peau. notre taille. les traits de caractères, les prédispositions aux maladies. etc. Ces unités biochimiques héréditaires se présentent sous la forme de longues chaînes d'ADN (acides "désoxyribonucléiques) contenues dans 23 paires de chromosomes réparties dans les noyaux de chacune de nos cellules.

La moitié des chromosomes de chaque individu provient de la mère. l'autre étant issue du père. A l'exception des vrais jumeaux qui possèdent un ADN identique, chaque individu dispose dans ses chromosomes de conformations génétiques uniques qui le distingue de tous les autres êtres humains.

Pour réaliser une empreinte génétique, il suffit de prélever l'ADN d'une seule cellule à partir de sang. de sperme ou de racine de cheveux puis à le couper en milliers de fragments par une protéine appelée enzyme de restriction. Ces fragments sont séparés en fonction de leur taille puis transférés sur un support solide fixant l'ADN. Ils sont ensuite couplés à une sonde radioactive spécifique complémentaire des séquences d'ADN. Après une radiographie. on obtient une image composée de bandes dont l'ensemble constitue l'empreinte génétique.

Grâce à la technique d'amplification par la technique de polymérisation en chaîne (PCR). il suffit en principe d'isoler une seule cellule pour obtenir une empreinte.

La technique des empreintes génétiques est utilisée notamment pour identifier les violeurs. les meurtriers, les auteurs d'agression. Il suffit d'un cheveu avec bulbe, d'une goutte de sang ou de sperme retrouvés sur une victime, sur les lieux d'une agression ou d'un crime pour procéder à une analyse d'ADN. Cette méthode se révèle également précieuse pour identifier des cadavres. Pour une recherche de paternité, il suffit d'isoler de l'empreinte génétique de l'enfant les barres qui proviennent de la mère et de comparer celle qui restent (issue du père) avec les codes à barre des pères supposés.

G.D.

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EXPLICATIONS
Les commandos destructeurs de preuves
Sans le vouloir, les premiers arrivés sur les lieux d'un crime font beaucoup de dégâts
Des crimes de sang non élucidés, il y en a toujours eu. même s'ils tendent à diminuer, notamment grâce à la généralisation des tests ADN. Qui a tué Julien Lahaut, qui sont les tueurs du Brabant? Aux côtés des grandes énigmes criminelles de ce siècle, il reste une multitude de « petits » meurtres par inconnu.

A Bruxelles, pour 51 crimes et tentatives de crime enregistrés en 1992, 32 furent résolus la même année. En 1995 - année faste -. pour 39 crimes enregistrés. 38 furent résolus. L'an passée, pour 37 crimes enregistrés, 31 furent résolus.

Et il n'est pas toujours nécessaire d'imaginer une malveillance ou une parfaite organisation du criminel pour expliquer ces échecs. C'est même plutôt l'exception à en croire un spécialiste, le commissaire en chef de la PJ de Bruxelles. Frans Reyniers.

« Il faut bien savoir que le crime parfait, cela n'existe pas. Il y a toujours quelque part, sur les lieux du crime. un indice qu'on doit pouvoir exploiter. Mais il existe ce que les enquêteurs allemands appellent les Spuren Verniediging Kommandos, littéralement les commandos destructeurs de traces. »

Ces «commandos» sont constitués de très honnêtes citoyens: les policiers communaux ou les gendarmes appelés les premiers sur les lieux, le juge d'instruction, son greffier, le substitut du parquet, le médecin-légiste, l'expert en balistique, l'équipe PJ. le laboratoire et. dans les patelins, le bourgmestre.

Tout le monde descend en même temps, tout le monde marche partout. On touche aux indices, on en ajoute. Je me souviens d'un commissaire qui, dans la chambre du crime, écrasa sa cigarette dans un cendrier... Et puis, quand ils ont tout bien foutu en l'air, ils partent. C'est alors que l'officier de police judiciaire doit commencer son travail. En se demandant: "cette trace de pied, là, c'est le pied de qui?".

Qu'on se rassure: ce «foutoir» n'est pas l'apanage des enquêteurs belges. « Dans l'enquête relative à l'enlèvement de Paul Vanden Boeynants. lorsqu'on est arrivé à la villa du Touquet. il a fallu inviter les policiers français à quitter les lieux. C'était vraiment pour rire ».

Que faut-il faire alors? Généraliser et même étendre la notion du périmètre de sécurité. « Dans certains corps de police, c'est le laboratoire de police judiciaire qui descend le premier sur les lieux. Et, en cas de nécessité, les laborantins restent seuls sur place durant 24. voire 48 heures. Ils portent des gants, des vêtements spéciaux, des bonnets pour ne pas qu'un seul de leurs cheveux ne se mêlent aux indices. Ce n 'est qu'après que les policiers et magistrats descendent sur les lieux. Et eux seuls".

En cas de crime de sang, ce sont les premières heures de l'enquête qui se révèlent les plus importantes. " Si un crime de sang n 'est pas élucidé dans les quarante-huit heures, la tâche des enquêteurs devient très difficile". Avec un peu de malchance, elle deviendra rapidement insurmontable. Et un nouveau dossier X s'empilera sur le bureau des magistrats.





chevalier | 9/22/2004
R.I.P. et le nom de Mon Organisation oui chevalier pour vous dévoilez haut et fort a tous le monde et M Miki c est l enssemble



chevalier | 9/22/2004
C'est vraiment très beau, j'ai fermé les yeux et rêvé, imaginé ....
Je suis en train de faire un article sur l'Automne dans mon blog, j'y intègre ton poème et met un lien vers ton blog ... j'espère que cela ne te dérange pas... autrement fais en moi part.

merci pour ce joli poème plein de nostagie...
montener | 9/11/2005
KarmaOS