J’aime passer d’une note à une autre.
Et j’aime aussi quand c’est la légèreté qui règne sur ce blog.
Ainsi, en cette nuit qui suit quelques heures de « Big Bug » sur KarmaOS, ai-je envie de vous convier à des…Travaux Pratiques BDSM !
 
 
 
Un corset, c’est déjà un plaisir en soi.
L’essayer dans une boutique, trouver celui qui va nous plaire, faire corps avec nous, provoquer la surprise et la délectation chez l’autre, c’est une façon de séduire qui est parmi les plus sensuelles qui existent...
Pour l’homme, offrir ce corset, le sélectionner avec réflexion et tendresse, avoir la crainte de se tromper dans les mesures ou dans le tissu, c’est une marque d’émotion et d’attention extrême envers celle qui le portera.
 
Le corset n’est pas l’apanage des femmes BDSM.
Beaucoup d’autres en revêtent, elles aussi, pour se voir la taille plus fine et si fragile et désirable dans le regard de l’homme aimé…
 
Ce corset idéal existe-t-il ?
Le mieux serait de le faire soi-même en choisissant sa matière, en dessinant son propre modèle.
Certaines femmes le font. Ce n’est pas si difficile que ça.
 
Ah ! Si je n’avais pas deux mains gauches mais une bonne machine à coudre et une infinie patience, j’irais dès demain en ville prendre possession de la soie de mes rêves et j’appliquerai la « recette » que je vous propose dans la vidéo YouTube ci-dessus…
 
Parmi vous, je sais qu’il va y en avoir qui seront capables de s’y mettre, femmes ou hommes…
 
Quelle stupéfaction vous lirez dans les yeux de celui qui vous verra ainsi parée, qui saura que c’est pour lui que vous avez fait ces Travaux Pratiques BDSM ou dans le regard de celle qui recevra la parure faite de vos mains (car les hommes peuvent avoir un talent de « grand créateur » qui couve en eux), au soir de la Saint Valentin qui - ne l’oubliez pas - approche à grands pas !
 
N’hésitez pas à écouter les explications plusieurs fois (il faut, je le signale, connaître « moyennement » l’anglais), à tracer  votre « patron » avec le plus d’imagination possible, à travailler dans la matière et les couleurs qui sont désormais les vôtres avec la plus grande des fantaisies.
 
Pour le seul oubli que j’ai pu relever, celui de l’impasse sur les « baleines », je précise à toutes et tous qu’on en trouve en vente sur les sites américains de très belles et très robustes en acier mais je ne doute point un seul instant que, dans quelque mercerie perdue à l’angle d’une rue de votre bourgade, vous ne puissiez vous en procurer plus rapidement encore…
 
Songez à la satisfaction au moment de l’offrande de « l’œuvre » ainsi accomplie…
 
Enjoy !