Photo © Alex Majoli

La Palme d’Or du Festival de Cannes n’exista sous cette dénomination qu’après 1975.

Pour célébrer le 60^ème anniversaire de cette manifestation, en voici 25 sur 32.

Mijotées par la mijaurée à la sauce spanking BDSM comme il se doit !

La Palme est proche de la paume et le tout mérite bien une petite fessée…

Ma pulpe, ce n’est pas de la fiction quand il Te vient l’envie de jouer le tambour sur mon postérieur avec la constance de l’homme de fer et que Tu mènes à bien Ta mission.

Finalement, c’est toujours avec les meilleures intentions que l’on déclanche l’apocalypse now et que l’on envoie l’autre rôtir sous le soleil de Satan…

Question degré de cuisson, c’est Fahrenheit 9/11.

Au moins !

Mes fesses ont soudain de quoi écrire leur chronique des années de braise.

Tu fais l’éléphant? Je fais l’anguille!

Je minaude, je suis l’enfant dont le papa est en voyage d’affaires.

Alors, le vent se lève et nous avons devant nous l’éternité et un jour.

Ou 4 mois 3 semaines et deux jours.

Ça a de quoi radoucir même qui voudrait passer pour Pelle le conquérant.

Mes globes prennent le goût de la cerise, Tu deviens le pianiste et je réclame la leçon de piano. On pourra la jouer Popeye the Sailor man et be bop a Lula ou simplement se croire dancer in the dark.

Cheek to cheek. Ta paume contre ma palme (d’or).

De toute façon, cela restera underground.

Tant que ce n’est pas secrets et mensonges ou, pire, sexe mensonges et vidéo, tout me va.

L’amour, c’est comme au cinéma.

Et le BDSM vaut bien un Festival de Can(n)es.