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Pratiques BDSM: Pour l'usage du safeword et même plus...

AURORA | 41 | 4/5/2007
A bien y réfléchir nous n'avons pas non plus de safeword - Mais nous ne donnons pas non plus dans l'humiliation et le jeu de rôle. Par contre, nous utilisons les chiffres. Sur une échelle de 1 à 10, le soumis/la soumise indique quelle est l'intensité de sa douleur - A la demande de la Dominatrice/du Dominateur ou spontanément. Simple, efficace (Du moins pour nous).
Wilfried | 4/6/2007
Mensonge : le safe word est un mensonge, car comment s'exprimer lorsque l'on est attaché, bailloné et que l'on peut juste subir . On n'est pas obligé de se faire torturer 3 h durant parce qu' un "maître" aura demandé qu'on dise ou qu'on fasse quelque chose alors qu'il sait déjà qu'on ne pourra pas communiquer . C'est de l'abus de confiance, ça se juge au tribunal . Confiance est LE maître mot , essayer avant d'acheter, se renseigner sur les qualités du produit, les tester avant la capitilisation et si tout est conforme: capituler et rentabiliser . Ne pas oublier les bisous et les serments d'amour
c'est généralement indispensable .
billeversée | 4/7/2007
Wilfried> Merci de votre commentaire et d'avoir partagé ici votre expérience.
Et bonne chance sur votre nouvelle page!!!!

Billeversée> Sourire pour le second degré mais aussi la tendresse de vos mots.
Toutefois, évitez tout de même de causer "tortures de trois heures", les gens risqueraient de le prendre au sérieux!
Et, par les temps qui courent....
AURORA | 4/7/2007
Les temps qui courent: cf ma note de ce soir sur mon autre blog, "Oiselle".
AURORA | 4/7/2007
Excellent ! pour notre part, nous utilisons "stop" mais pas seulement, non, mon Il est hyper attentif à mes réactions parce que, justement, parfois, pas le temps, pas le moyen de le dire, alors, tout mon corps peut être le stop, ma respiration, un cri de douleur inopiné mais violent l'arrête et il me demande, toujours, si ça va, qu'on peut arrêter.

C'est arrivé, il n'y a pas vieux, jeudi, au cours d'un jeu, je me suis retournée la main, pas la présence d'esprit de dire stop, mais mon sursaut (violent), mon cri ont suffit, il a arrêté net, a pris soin de moi, m'a laissé me reprendre et une fois remise, on a recommencé à jouer.

Le "arrête" ? rires, cause de fous rires, "j'arrête ? non non, continuez", tout simplement parce que je dis ce mot quand je sens que je pars en fou rire, ou autre cause légère, mais où je suis pourtant bien...Dur dur d'être dom, aussi, finalement.

Je suis consciente d'avoir de la chance qu'il soit ainsi. D'autres ne l'ont pas...hélas
Shilane | 4/7/2007
Oups ça m'énerve tellement que je perturbe mes voyelles, donc capitAlisons avant d'aller chez le capilliculteur se faire remettre la tête à l'endroit . Aurora, en plus 3 h c'est un petit joueur à éliminer comme le virus du22
billeversée | 4/7/2007
Merci, Shilane, pour votre passage et cette complicité que vous avez si bien su nous décrire ... Ce sont ces mots-là qui doivent peser avant tous les autres...

Billeversée> Tsst! Je vais finir par vous soupçonner de "verser" dans le capital---isme qui n'est pas de saison par ici!!!

;-))
AURORA | 4/8/2007
Pardonnez la candeur de mon interrogation. Bien que très curieux, je ne connais absolument pas le BDSM, sinon à travers des "dossiers" comme ceux de psychologie que vous sembliez déprécier. Cependant j'ai en mémoire une relation récente avec une jeune fille charmante qui était dans le même cas que moi, et qu'il m'arrivait de battre. Je suis conscient que le safeword est un outil formidable qui doit avoir ses raisons d'exister, si les grands prêtres du BDSM l'intègrent à leur dogme. Cela dit, je me souviens tout de même que la seule chose qui m'enchantât vraiment était la question éternellement en suspens, que je savais aussi présente dans l'esprit de ma partenaire : "Est-ce un jeu ? Si c'en est un, où finira-t'il ?". Si la belle avait eu le loisir d'interrompre la scène à tout moment, il est certain que j'aurais refusé de participer. Le "safeword" ne fait que déplacer le problème : Dans un couple normal, lorsque l'un des deux exprime sa douleur ou son simple désagrément, la scène prend fin. Dans le couple BDSM que vous décrivez, c'est exactement la même chose : Il s'agit de ne pouvoir utiliser qu'un mot, déterminé à l'avance, au lieu de n'importe quel signe. Rien de plus. Le seul intérêt que je pouvais trouver à nos séances était que ma partenaire n'était pas en mesure de m'arrêter et que je ne savais pas moi-même où je m'arrêterais. C'est l'ignorance terrorisée dans laquelle elle se trouvait (et la mienne propre) de mes limites que je trouvais délectables. C'est sa peur, plus que sa souffrance qui donnaient son sens à notre relation. La violence ne me servait qu'à la mettre dans cet état de frayeur tétanisée qui faisait trembler ses lèvres et figeait ses grands yeux innocents. Dès lors que le dominé peut mettre un terme au rapport à tout moment (que ce soit par des moyens conventionnels ou l'emploi d'un safe word) quel plaisir reste-t'il au dominateur, sinon celui, bien mince à mon sens, de battre la chair d'autrui ?

Je vous remercie humblement de toute réponse que vous voudrez bien apporter à mes interrogations et profite de l'occasion qui m'est donnée de saluer l'auteur de ce superbe blog.
UlrichLeFelon | 4/20/2007
Cher Purification,

Je comprends tout à fait ce dont vous parlez au niveau de l'intensité éprouvée.
Mais je n'aurai qu'un seul mot: attention à ne pas jouer trop sur ce fil du rasoir. Surtout quand l'on manque d'expérience...
Il y a toujours, ne l'oubliez pas une seule seconde, une autre, (un alter qui ne sera jamais vous et qui en cela vous est étranger et donc engendre la possibilité de l'erreur et du gouffre) en face de vous.
AURORA | 4/20/2007
Je vous remercie de votre conseil, qui entre malheureusement en contradiction directe avec ma façon de tirer du plaisir. C'est la possibilité de l'erreur et du gouffre qui m'appellent. Mais j'aimerais surtout savoir ce qu'en pense Monsieur Marden (ou un quelconque autre dominateur ici présent). J'aimerais savoir par exemple, s'il hésite à cesser le feu, malgré les "safewords". Comment parvient-il à tracer la limite (question que vous posiez dans votre article) mais surtout qu'est-ce-qui peut le pousser à respecter la limite au lieu de la violer allègrement ? Quel plaisir retire-t'il de vos jeux s'l sait d'avance qu'il la respectera, et quel est le pouvoir réel d'un "dominateur" dont la soumise a le dernier mot à tout moment ?
UlrichLeFelon | 4/21/2007
BOBO, c'était le notre, mais par nature, BOBO se repousse toujours et toujours et si je n'étais pas attentif certaines fois des dégats serais apparus. Souvenirs émus et contrarié encore malgrès les mois de fesses noircies par l'hématome car bobo non arrivé et nuit plus carresses empéchant de voir et sentir, même avec l'expérience je vous le dis gardez le contact. Geiko si tu passes.....
louvart123 | 4/21/2007
> Purification :
Je vais vous répondre sur deux points
Tout d?abord, en préambule, je tiens à vous préciser que je n?ai jamais battu ni cogné sur Aurora.
1/ En ce qui nous concerne, comme Aurora l?a indiqué, nous n?avons pas de SAFEWORD. Nous nous connaissons suffisamment pour ne pas en avoir besoin, c'est-à-dire que lorsque nous « jouons », je reste en permanence à l?écoute de son corps, de ses réactions, de ses cris ou soupirs. Je connais ses limites et surtout je connais aussi les miennes et pour être arrivé ( ?) pour avoir été amené ( ?) tout au bord, vraiment tout au bord du gouffre je sais que quoi qu?il arrive, je me maîtriserai et je maîtriserai mes pulsions (ce qui ne semble pas être votre cas).

Mon plaisir n?est pas dans « la peur ou la terreur » que peut avoir de moi ma partenaire. Je n?ai jamais dompté, j?ai toujours préféré apprivoiser. Et puis d?ailleurs rien n?empêche de « jouer avec la peur ».
Il ne faut pas confondre limites et ce qui devient inacceptable par l?autre et qui justifie le safeword.
Mon plaisir est plutôt dans le dépassement des limites, l?acceptation de ce dépassement par la soumise.
C?est le geste de plus... pas celui de trop !

Ce que je considère comme un bon Dominateur c?est celui qui connait, sent les attentes de l?autre, sait les mêler aux siennes pour faire avancer, faire grandir sa soumise.
Et dans ce cas, je peux vous garantir qu?il n?y a pas de frustration, ni pour l?un, ni pour l?autre.

2/ Dans ce que vous racontez sur votre aventure, relation, vécu, je ne sais comment qualifier votre exemple, je ne vois que l?expression de la violence pour la violence, sans barrières, sans limites «ma partenaire n'était pas en mesure de m'arrêter et que je ne savais pas moi-même où je m'arrêterais ». Vous dites que même si votre partenaire vous demandez d?arrêter, vous ne le feriez pas... Cela relève du Pénal et s?appelle au mieux « une agression » au pire, un assassinat... le viol avec violence se trouvant juste entre les deux.
Dans un couple BDSM, la douleur est voulue, appelée pour être plaisir.
Dans ce que vous appelez « des couples normaux » cette douleur s?appelle la souffrance et ceux qui se comportent comme vous le faite sont des maris brutaux, des tyranneaux domestiques et leurs compagnes des femmes battues.
Sincèrement, j?ai peur pour vous. Si j?osais, je vous conseillerai d?arrêter la lecture du magasine « Psychologie » et de voir un vrai PSY (-CHIATRE, -THERAPEUTE, -CHANALYSTE) pourvu qu?il soit bon et sérieux et de chercher à comprendre ce besoin de violence que vous éprouvez, d?apprendre à la canaliser afin qu?un jour vous ne dépassiez pas non les limites mais les bornes d?une vie.

MARDEN

Le M. d'AURORA | 4/21/2007
PS: Les majuscules n'ont été employées que pour passer le filtre anti-spams d'ublog.
| 4/21/2007
A Marden,

Je vous remercie de vos explications (en dépit des insultes récurrentes qui l'émaillent), ainsi que de votre invitation à consulter : c'est déjà le cas. J'ai beau comprendre intellectuellement, et admirer sur un plan strictement moral l'image que vous proposez du "bon dominateur", j'ai du mal à imaginer ce qu'il peut y avoir de gratifiant à "faire avancer, faire grandir ma soumise" si cela se fait dans une direction qui n'est pas le reflet unique de mes aspirations (et ne peut donc provoquer chez moi l'ivresse de cet étrange contrôle incontrôlé).

Merci en tous les cas pour l'éclairage que vous avez jeté sur l'idéal BDSM et de vos aimables avertissements concernant le code pénal.

Bonne soirée à vous !
UlrichLeFelon | 4/21/2007
>Purification

Malgré une relecture attentive de ma réponse, je n?y ai vu aucune insulte à votre encontre.
Par contre votre récurrence, elle est pénible.
Ce que moi, j?ai le plus grand mal à imaginer, c?est le plaisir que l?on peut avoir à terroriser, à faire peur, à battre une femme, à l?effrayer jusqu?à la tétaniser.
On est bien loin de la relation consensuelle inhérente au BDSM, du SSC. Il est évident que vous n?avez pas compris l?essence de ces jeux là.
Où l?on parle d?échange et/ou d?amour, vous parlez d?égoïsme puisque seul votre plaisir compte.
Contrairement à ce que vous semblez penser, il est possible de faire avancer et grandir sa soumise dans le sens souhaité, de la guider vers le but que s?est fixé le Dominateur sans pour autant oublier qu?elle aussi à droit à son plaisir.

MARDEN

| 4/22/2007
"ceux qui se comportent comme vous le faite sont des maris brutaux, des tyranneaux domestiques". Je dois être le seul à trouver cette punchline vaguement insultante. Pardonnez ma méprise. La dimension laudative de votre propos m'avait échappé à la première lecture.

J'ai bien pris conscience que ma relation n'avait rien à voir avec le BDSM (ce qui ne diminue en rien mon intérêt pour le sujet, et tout en vous remerciant de vos précieux éclaircissements, vous informe que le sujet est clôs, de mon côté, et que toutes mes interrogations furent satisfaites au-delà de mes rêves les plus audacieux.

Au plaisir.
UlrichLeFelon | 4/22/2007
Purification> Vous êtes venu, avec un pseudonyme déjà très étrange poser des questions sur le BDSM sur un blog BDSM alors que vous aFFIRMez vous-même ne pas pratiquer le BDSM mais un "autre chose" auquel vous ne savez pas donner de nom (La "Purification" serait-il incONSCiemment ce nom-là?).

A mon premier commentaire, vous avez répondu
"C'est la possibilité de l'erreur et du gouffre qui m'appellent." puis SOLLICITE mon compagnon parce que vous vouliez des "AVIS de dominateurs" de ce BDSM auquel vous ne vous REFEREZ toujours pas.

Vous avez raconté ici votre relation avec une jeune fille qu'il vous "arrivait de battre" en donnant de nombreux détails sur votre ressenti PsY-chOl-ogiquE d'alors qui, oui, font très peur à vous lire.
Et vous vous OFFUsquez après tous vos propos que l'on parle de "femme battue" et de son CORollaire, le "mari brutal" qui tape par besoin de soUPApe ou d'EXUtoire.
Pire, vous vous sentez insulté!

Mais réalisez-vous un seul instant combien vos discours ici sont déplacés, inquiétants?
Combien si nous ne tirions pas la sonnette d'ALARME vous pourriez être nuisible à lire par celui qui passe par hasard et qui en tirerait que "tout est permis"?
Où est la notion de consentement dans vos lignes?

Savez-vous que vous m'avez tellement surprise que j'ai même jeté un coup d'oeil sur votre adresse i.p. en pensant tout d'abord à un copain me faisant une blague en me déposant ce roman ici ?

Dans la vie, il y a des LIMItes, dans le BDSM aussi, et sur un blog, c'est la même chose.
Nous vous avons donc répondu parce qu'en aucune manière, il ne nous est TOLERAble de CAutioNNer, à cause de cette porte que nous voulons pourtant laisser ouverte tant que faire se peut à tous, que des choses d'une telle violence, d'un tel égoïsme témoignant d'une vraie perTURbation demeurent postées là sans réaCTIon de notre part.
Oui, je condamne et le dis haut et fort les gens qui se comPORtent comme vous.

Et au fond, à quoi menait cette PROVocation répétée sur deux jours?
Si ce que vous souhaitiez, c'était que l'on vous QUALifie "glorieusement" de "sadique" par opposition à "dominateur", c'est loupé.
Je ne salis jamais le nom de Sade.

Tapez "blog BDSM" sur un MOTeur de RECHerche et vous en trouverez des dizaines d'autres sur lesquels aller aBORDer "votre intérêt pour le sujet".
Quant à moi, c'est très clair, je ne souhaite plus vous relire ici.


PS: Les majuscules sont nécessaires pour éviter le spam.
AURORA | 4/22/2007
louvart123> Je vous ai répondu mais sur cette note où vous vous étiez aussi posé:

http://www.ublog.com/AURORAWEBLOG/note/58902

Vous méritiez mieux que d'être associé à l' "incident" ci-dessus.
AURORA | 4/22/2007
good website.thanks share!

office furni | 8/13/2007
Interesting...

Agapios | 9/8/2007
Cool...

Alexandros | 9/9/2007
interesting

Platon | 9/9/2007
Sorry :(

Vangelis | 9/10/2007
interesting

Gondikas | 9/10/2007
Cool!

Kristion | 9/10/2007
Cool!

Georghios | 9/11/2007
Nice

Spiro | 9/11/2007
Nice!

Eleftherios | 9/11/2007
Nice...

Alexis | 9/11/2007
interesting

Tassos | 9/11/2007
Cool...

Leontios | 9/12/2007
Cool.

Athan | 9/12/2007
Cool...

Iason | 9/14/2007
interesting

Gustas | 9/15/2007
Sorry :(

Paulos | 9/15/2007
Interesting...

Kalinikos | 9/16/2007
Nice...

Hippocrates | 9/18/2007
Cool.

Petros | 9/19/2007
Cool...

Yioryios | 9/19/2007
Nice...

Panayiotis | 9/20/2007
Cool...

Augustinos | 9/21/2007
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