Chouette. Tout se silence pour une récompense, celle d'être devenue encore plus forte!
Acrerune
| 5/10/2010
Cela s'appelle l'Aurore...
Idalie Felix
| 5/10/2010
Oh :)
Rhalph
| 5/10/2010
je suis heureuse de te revoir poster ici .. et j'espere que ce retour te comblera ..... Moi je suis comblée, j'ai enfin testé le Fouet ce week-end .. un délice de cuisance !
hestia
| 5/10/2010
Très heureux pour vous et très content de vous revoir ici.
Philippe
| 5/10/2010
Heureux dénouement. Nous serons nombreux à nous en réjouir. Tendres pensées pour vous deux.
operon
| 5/10/2010
Il n'y a pas de démon de treize heures. Il n'y a que le démon de midi. Il n'y a pas d'amour, il n'y a que des preuves d'amour. Plus j'avance en âge et plus je m'en remets au temps naturel. Seul le temps naturel saura éprouver l'authenticité de votre relation, Aurora, Marden. Je vous souhaite le meilleur.
J'entends, j'entends
J'en ai tant vu qui s'en allèrent Ils ne demandaient que du feu Ils se contentaient de si peu Ils avaient si peu de colère
J'entends leurs pas j'entends leurs voix Qui disent des choses banales Comme on en lit sur le journal Comme on en dit le soir chez soi
Ce qu'on fait de vous hommes femmes Ô pierre tendre tôt usée Et vos apparences brisées Vous regarder m'arrache l'âme
Les choses vont comme elles vont De temps en temps la terre tremble Le malheur au malheur ressemble Il est profond profond profond
Vous voudriez au ciel bleu croire Je le connais ce sentiment J'y crois aussi moi par moments Comme l'alouette au miroir
J'y crois parfois je vous l'avoue A n'en pas croire mes oreilles Ah je suis bien votre pareil Ah je suis bien pareil à vous
A vous comme les grains de sable Comme le sang toujours versé Comme les doigts toujours blessés Ah je suis bien votre semblable
J'aurais tant voulu vous aider Vous qui semblez autres moi-même Mais les mots qu'au vent noir je sème Qui sait si vous les entendez
Tout se perd et rien ne vous touche Ni mes paroles ni mes mains Et vous passez votre chemin Sans savoir que ce que dit ma bouche
Votre enfer est pourtant le mien Nous vivons sous le même règne Et lorsque vous saignez je saigne Et je meurs dans vos mêmes liens
Quelle heure est-il quel temps fait-il J'aurais tant aimé cependant Gagner pour vous pour moi perdant Avoir été peut-être utile
C'est un rêve modeste et fou Il aurait mieux valu le taire Vous me mettrez avec en terre Comme une étoile au fond d'un trou
Louis Aragon.
Joel Faure
| 5/10/2010
> Joël
Pour paraphraser Aragon dans les premières strophes de ce poème que vous navez pas citées :
Alors chantez, chantez, chantez Puisque lombre sest faite humaine Que tout est dimanche en semaine Et lAmour a sa vérité.
MARDEN
Le M d-AURORA
| 5/11/2010
AURORA, tu m'as manquée, je suis contente que tu sois revenue, et Marden aussi
Darck Crystale
| 5/13/2010
"Quelle magnifique re-création ! ça vaut le coup de s'inscrire juste pour le dire...(bis)
Illiade
| 5/14/2010
quelle bonne nouvelle !...m'en vais le dire à Serge