Une page blanche.

sans encre alors!

angoissant ça !

Non, Gilles, c'est simplement l'une des limites du blog: pas de possibilité de finir une page que déjà une autre arrive.
Il me faut un passage entre ce que j'ai écrit pendant ces quelques jours et ce que j'écrirai après.
Comment revenir sinon à parler d'art ou -encore plus indécent dans ces circonstances- de BDSM?
Cette page blanche et le poème qui la suit sont cette transition nécessaire.
J'ai passé le WE à me repasser les treize albums studio et j'ai besoin de dire mon "non-oubli" avant de continuer.

... Ou bien selon mon Petit Robert :
Encre sympathique: qui reste incolore et donc invisible tant qu'on ne la soumet pas à l'action d'un corps avec lequel elle est "en sympathie".
Hier, quand j'étais petit, j'ecrivais avec du jus de citron et une plume Sergent Major. Il suffisait de chauffer la feuille pour révéler le texte.
Mon écran n'est pas d'accord pour passer à la casserole
En tous cas, bravo, ç'est mieux du Buren ou du Klein.

Oui, c'est même une encre très sympathique puisque, vous tous, vous pouvez commentez la page blanche!

Un silence, de temps en temps, ça repose ;-)