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auroraweblog
Je dois être complètement stupide, mais je ne comprends pas pourquoi on a censuré votre contribution. Sans doute y a-t-il là dessous des enjeux qui m'échappent, moi clampin basal. ..Ou AG y a-t-elle vu des allusions à Dieu (?!) sait qui ou quoi ? Mystère et bouledogue.
Idalie Felix | 1/21/2009
la redondance des propos? je me fais l'avocat de la diablesse!!
Acrerune | 1/21/2009
Non, Acrerune, la « redondance des propos » ne peut être l’explication.
1) Pourquoi Agnès Giard les aurait-elle validés malgré cela dans un premier temps pour les supprimer ensuite ?
2) Beaucoup d’autres notes de son blog (celles qui ont eu le plus de succès) sont remplies de commentaires tout aussi redondants qu’elle a toujours laissés en place après les avoir validés.

PS : Je viens de relire ces commentaires « passés aux oubliettes » et que j'ai conservés en captures d'écran : je peux maintenant te répondre aussi qu’ ils n’étaient pas tous redondants.

Et quant au mien (pour Idalie), il désignait les « Soirées Fetish » comme « le royaume du paraître ».
Il n’aurait donc pu être validé que si Agnès Giard acceptait que l’on conteste des endroits auxquels elle est très liée.
Ce qui, la démonstration est faite désormais, ne lui est visiblement pas possible…

AURORA | 1/21/2009
Voilà un texte bien aseptisé. Encore une fois tu t’autocensures, comme tu le fais de plus en plus souvent, même dans tes réponses aux commentaires.

Bien sûr que l’on trouve dans ces soirées qu’Agnès GIARD promeut (j’y reviendrai plus loin) comme dans tout autre type de soirées, même au bal des pompiers du 14 Juillet comme dans les clubs échangistes, un « échantillon représentatif de la population française »…

Pour répondre à Idalie, je vais mettre les pieds dans le plat.
La Soirée Démonia en décembre (et qui se voulait (BD)SM à ses débuts) tout comme les « Nuits Elastiques » au cours de l’année sont organisées par l’équipe de direction de la Boutique Démonia (en particulier Mr Francis Dedobbeleer). Ces soirées sont des actions commerciales et ces personnes ne sont certainement pas des philanthropes.
Je ne doute pas que Mr Francis Dedobbeleer. qui depuis longtemps s’est fait le chantre du SM pratique toujours mais « business is business » et surfer sur la mode « fétish » doit être bien plus rentable.
Sachant les liens qui unissent Mlle GIARD à cet homme à cette équipe et à cette boutique, (voir LIBE du 6/01 : http://www.liberation.fr/culture/0101303613-heterodoxe ), elle qui fut la rédactrice de leur E-magazine sur Internet, il est parfaitement compréhensible qu’elle fasse la promotion des soirées en ne retenant que les avis qui n’égratignent pas ce « mouvement » si lucratif.
Et que dire de l’effacement de 20 commentaires sinon qu’il prouve une fois de plus le « pipotage » des articles, une façon de les faire rentrer dans le moule choisi.

Mlle Giard mixe allègrement les genres (tout en faisant semblant de ne pas s’en apercevoir) sous prétexte d’enquête sinon d’étude sociologique, précédée en cela par sa grande amie Camille de « Rue 69 ».
Quoi qu’il en soit, cela reste une affaire de parisianisme, de copinage parigo-parisien.

Qu’il soit clair que je ne dénigre ni les soirées ni les nuits en tant que telles, ni le fait qu’elles rapportent de l’argent.
Ce que je ne supporte pas c’est le mélange des genres que l’on s’efforce de nous faire avaler comme allant de soi.







MARDEN | 1/22/2009
Je crois comprendre que le débat porte plus sur la définition de certains concepts dans leur compréhension que sur la censure exercée à l’égard de ces définitions.
La censure en elle même suffirait à mes yeux à disqualifier ses auteurs pour l’atteinte à la Liberté qu’elle constitue, mais lorsque cette censure se fonde sur des motifs réels purement mercantiles elle m’est franchement odieuse.
Un peu de vérité ne nuit pas.

L’univers BDSM se détache salutairement depuis quelques décennies du ghetto d’opprobre qui l’accompagnait jadis. Les efforts de clarification des concepts et des genres, la définition de normes sont indispensables aux acteurs autant pour les besoins du jeux que pour des raisons de sécurité dans leur pratique, et enfin pour leur reconnaissance.

Je ne pense pas qu’aucune autre forme d’érotisme plus que le BDSM (et ce qui gravite autour) ne requière d’être autant normée et n’appelle plus de définitions claires et précises, contribuant d’ailleurs à faire du BDSM, contre toutes apparences, un domaine de dialogue consensuel par excellence.

La censure exercée n’honore pas plus ses auteurs au niveau des principes que dans ses effets. Elle porte également atteinte aux efforts entrepris depuis quelques années par le BDSM visant à sa normalité sociale. Elle le désocialise en recréant confusions et amalgames, rouvrant les portes aux dérives toutes proches.

L’image sulfureuse dont il tente de se dégager peut bien laisser quelques nostalgiques quand bien même on ne pourrait plus s’empêcher de penser qu'avec regret au cri d’exclamation de Mme de Sévigné découvrant le chocolat mexicain « c’est délicieux, ce doit sûrement être un péché ! »

Je ne crois pas que le parisianisme ait beaucoup à voir . Il consiste en des différences de langage et d’usages, apparues sous Louis XIV lorsqu’une partie de la Cour s’est déplacée de Paris à Versailles (90% de la Cour, étant constitués de provinciaux). Ces différences ont suscité un sentiment de supériorité douteux que les siècles suivant ont renforcé jusqu’au déclin récent de Paris. Détail sans importance, car j’apprécie ces analyses fines, portant sur un univers complexe qui m’intrigue depuis longtemps.
troll | 1/22/2009
Je lis avec intéret toute la controverse
j'ai lu avec beaucoup d'intéret l'article de rue 89 et ses coms

je n'entrerai pas dans le débat, je ne suis ni BSDM, ni fétichiste, ni élastique

je comprends tous les efforts entrepris par le BSDM visant à sa normalité sociale
il n'empêche que pour la plupart des personnes n'évoluant pas dans ce milieu, l'amalgame soit hélas de rigueur, et pourquoi? parce que le sujet ne les touchant pas, ils ne prennent pas le temps ou les moyens de se documenter à ce sujet, et à ses collatéraux

l'effort que je fais moi-même en temps qu'artiste depuis plusieurs années, de suivre et essayer de comprendre (sans porter le moindre jugement de valeur)
ne m'a pas valu de bons regards et de bons résultats dans mon milieu

j'apprécie tout ce que je vois et lis chez Aurora justement parce que j'ai l'espoir de comprendre quelque chose sur le sujet, sans toutefois y adhérer
fleurdatlas | 1/22/2009
précision: "y adhérer"
je voulais dire: sans toutefois pratiquer cette forme d'expression de sexualité, et ces formes de jeux érotiques

de toutes manières, pour moi, la sexualité faisant partie de la vie intime, je ne vois pas pourquoi nous ayons souvent à nous positionner "publiquement" (et Aurora avait même évoqué à juste raison le fichage des pratiques sexuelles de chacun) ou affirmer nos pratiques dans ce domaine, ni à être "jugés" ou "catalogués".

Affirmer et déclarer nos tendances ne devient nécessaire que dans une relation interpersonnelle (qu'elle soit réelle ou virtuelle ex: forum, mail) pour s'engager ou ne pas s'engager dans des voies non adéquates.
fleurdatlas | 1/22/2009
¨Par ailleurs j'ai toujours abhoré la suppressions de coms, sauf lorsqu'il s'agit des miens chez moi

il m'est arrivé en effet de parler plus vite que mon "ombre" et de le regretter vu le contexte, donc de supprimer des commentaires miens afin de les remplacer par des expressions plus accéssibles et compréhensibles

je pense que l'autocensure ou l'autocorrection ne sont pas des défauts ni des péchés

mais supprimer l'expression d'autrui après l'avoir validée!
fleurdatlas | 1/22/2009
Merci Marden, tout s'éclaire !
Idalie Felix | 1/22/2009
Ce que vous dites est très intéressant...

Mais alors y a-t-il un type de personne qui se rend à ces soirées Fetish à Paris, branchées et mondaines ?

Est-ce qu'elles n'ont pas également pu permettre aux pratiquants du BDSM de se sentir moins marginalisés par le reste de la société, en leur offrant une vitrine qui permettait de mieux connaitre cet univers ? Ou au contraire, est-ce que ces soirées ont surfé sur la reconnaissance du BDSM comme pratique sexuelle et non plus comme déviance ?
Ce sont des interrogations, car seule je n'arrive pas à départager la poule de l'oeuf..

Peut-être aussi que les nostalgiques regrettent un monde d'initiés et de vrais pratiquants, en voyant l'univers BDSM commercialisé aujourd'hui comme tout produit d'usage courant ? - je caricature - Car en effet, est-il devenu à la mode aujourd'hui de dire que l'on "fait des choses SM" ?

Zine | 1/22/2009
Zine> Malgré la pertinence de vos questions, je ne vais pas vous répondre…
Je me méfie un peu.
Vous tentez, en les formulant très adroitement, de noyer le poisson et de m’entraîner vers un terrain glissant.

Jamais ni, dans ma note, ni dans les commentaires ci-dessus, je n’ai qualifié les soirées « Fetish » de « mondaines » : c’est vous qui le faites comme si c’était ce que l’on devait déduire de mes propos…
J’ai seulement écrit « branchées » et « branchées » n’a pas du tout le même sens que « mondain ».
A la Nuit Démonia où je suis allée, j’ai croisé (je ne peux faire le même vaste catalogue qu’Agnès Giard, ne m’y étant rendue qu’une fois et pas avec un dictaphone ou une ampoule de sérum de vérité) une aide-soignante, une enseignante, un RMIste et un employé de la SNCF…
Rien de « mondain » dans tout ça.

Ensuite, vous embrayez sur « les nostalgiques » (sans me viser mais…), ce que l’une des intervenantes validée ET conservée par Agnès Giard définit ironiquement à peu près comme une race de dinosaures défenseurs du « C’était mieux avant »…
« Ce n’était pas mieux avant » les soirées Fetish pour la seule (mais bonne) raison, encore une fois, qu’il ne faut pas les confondre avec un lieu représentatif du monde SM ou BDSM mais quelque chose de différent.

AURORA | 1/22/2009
Je constate en tout cas ce soir sur le blog "Les 400 culs" qu'Agnès Giard a validé de nouveaux commentaires (bien sûr, elle n'a pas remis ceux qu'elle avait supprimés) pour en arriver à l'heure où j'écris au nombre de vingt et un...

Et cette fois-ci, ô ironie du sort!, il y a bel et bien redondance: tous les intervenants témoignent pour donner entièrement raison à Mme Giard !!!
Pas une seule tête qui dépasse !!!!


Seulement, trois "générations" de commentaires pour une unique note, ça commence à faire un peu beaucoup, non, pour ce qui se veut un "simple" blog d'actus sexe?
AURORA | 1/22/2009
> Zine
Je serai tenté de répondre « oui » à votre première question... oui, des personnes comme vous puisque vous savez que ces soirées sont branchées ET MONDAINES. Et là, vous en savez plus que moi.
Encore une fois, je ne vois absolument pas pourquoi vous associer ces soirées et le BDSM, et en quoi le « statut » de pratique sexuelle de ce dernier permettrait de surfer.
A mon avis, ces soirées ont surtout surfé sur la mode afin de devenir la poule aux œufs d’or.
C’est la seule poule et le seul œuf que j’ai pu distinguer là dedans

Le BDSM étant une sexualité, et ses adeptes ne criant pas leurs pratiques à tout vent, je ne pense pas qu’il leur importe d’ouvrir une fenêtre sur la société pour s’y faire connaître ou admirer.

La sexualité reste dans le domaine de l’intime et pour autant que je sache si le fétichisme touche à la sexualité il n’en est pas de même pour le « fétish » dont les soirées ne sont que des bals à thème (avec DJ et DanceFloor) où l’on se donne à voir.

Dans les commentaires effacés par Mlle Giard (et que malheureusement on ne peut plus lire dans le cache Google) Ange Noir disait : « Le SM visible est rare, le SM en chambre est bien plus répandu, et tant mieux, car il s’agit d’une pratique de l’intime où l’observation nuit » se rapprochant du propos de Demain : « Faut-il rappeler que le SM est pratiqué par des couples ou autres en privé, les portes fermées ? Et que souvent il ne nécessite ni donjon, vinyl ou latex etc. Nous formons une population difficile à quantifier et à analyser et c’est tant mieux ».
Je suis parfaitement en accord avec eux.

Au détour de votre réponse, je relève que vous parlez de « vrais pratiquants ». C’est donc admettre implicitement que vous en connaissez de faux ?
Et si d’aventure vous deviez me répondre, éclairez ma lanterne, c’est quoi « se faire des choses SM » ?
.
MARDEN | 1/22/2009
Troll> Merci pour votre commentaire posé et bien pesé.

Fleur> Je te suis infiniment reconnaissante de toujours t'interroger et de participer, même "chez moi" alors que tu es si peu concernée par le thème de mon blog...

NB: Le cache Google ne donne en effet plus accès à la page du 17/01 des "400 culs" désormais, heureusement que nous avons eu la prudence de faire des captures d'écran...
AURORA | 1/23/2009
tiens avant de me coucher, une petite note humoristique
j'ai des tendences à la dyslexie et ceci se retrouve jusqu'à ce jour lorsque je tape le sigle BDSM

mais tout le monde sait que le cerveau pour lire remet les lettres dans un ordre qui permet de comprendre pourvu que la première et la dernière lettre du mot soient bonnes!

je te remercie pour ta reconnaissance, elle me va droit au coeur
je souhaite participer partout ou presque (ça dépend des sujets bien entendu et c'est pourquoi mes interventions et mes interrogations demeurent en pointillé) surtout dans une communauté à taille ou visage humain telle que sur karmaos

pour moi, tu le sais car j'e l'ai déjà dit à plusieurs reprises, aucun sujet ou question n'est tabou

je te remercie d'
fleurdatlas | 1/23/2009
d'ailleurs pour ce sujet précis, celui évoqué par cette note
pour des personnes comme moi, il y aurait tendance justement à un trop grand ou facile amalgame car nous ne sommes pas concernés
il est justement bon de comprendre et de faire des différences
car en effet, actuellement je constate, et je l'avais déjà dit à l'époque de carnaval l'an passé, que la "SM attitude" est à la mode aussi bien dans l'accessoire, le vestimentaire, le bijou, le mobilier, que dans les revues ou les sites de "vulgarisation de pratiques érotiques"
je pense que quelque part ça fait "bien" de dire qu'on a certaines pratiques (le dire n'est pas le faire et on peut bien raconter n'importe quoi sans pour autant le pratiquer) c'est du dernier branché! c'est ce que je constate à mon niveau où les gens, justement ne sont pas des adeptes du BDSM, ni du SM et n'en ont même jamais ou presque entendu parler
ils "répètent" ce que leur pond la presse ou les médias
c'est du dernier chic de faire ceci ou de s'habiller comme ça et c'est tout!
et ça nourrit à bon compte les conversations de bureaux ou de couloirs à la pause!
fleurdatlas | 1/23/2009
Je ne souhaitais entrainer personne vers des terrains glissants, et je m'excuse si ça a été pris comme ça.. S'il y a eu des amalgames, c'est moi qui les ai faits, mais je ne sous-entendais pas qu'ils avaient été faits dans les autres commentaires. Je me posais juste des questions et il n'y avait pas d'intention de faire dire quoi que ce soit aux autres. Je connais mal ce milieu alors peut-être suis-je plus naïve que vous avez pu le penser.

Sinon le "faire des choses SM" renvoie à ce que décrit le commentaire précédent de Fleur d'Atlas : une "SM attitude" qu'elle décrit mieux que moi. Une espèce de mode créée par les médias mais qui ne correspond en rien à des pratiques ou des envies des gens ("c'est du dernier chic de faire ceci ou de s'habiller comme ça et c'est tout!").
C'est pour ça que je disais "vrais pratiquants", pas en opposition à des gens qui pratiqueraient bien ou mal le SM, juste à ceux qui pratiquent une sexualité BDSM et ceux qui ne la pratiquent pas du tout, même s'ils aiment un "univers BDSM" (mode etc.)..
Car je suis d'accord sur le fait que c'est une sexualité qui s'exprime dans l'intimité et qu'il n'y a pas forcément besoin de la publiciser.

Ce que je demandais aussi était : est-ce que ces soirées ont contribué à dédramatiser l'image du BDSM dans la société (qui avant - et parfois encore aujourd'hui - était perçu comme une déviance), ou est-ce que le BDSM a commencé à être plus accepté par la société et qu'ensuite ces soirées se sont développées ?

Je ne voulais agresser personne et regrette que mon message ait été perçu comme tel.. J'essayais juste de mieux comprendre, et c'est difficile parfois pour quelqu'un de peu informé d'éviter l'amalgame.
Zine | 1/25/2009
Zine, je ne suis pas d'accord pour zapper comme tu le fais sur l'aspect social.de la sexualité quelle qu'en soit sa forme; Voilà ce qu'en dit Wikipedia (je souscris plus volontiers à cette conception) :
QUOTE
La sexualité est un terme très général qui recouvre plusieurs phénomènes :

1- L'existence biologique d'organismes sexués, qui ont en général un sexe mâle ou femelle, et des caractéristiques spécialisées et complémentaires permettant la reproduction.
2- Le comportement sexuel, qui est chez la plupart des animaux un comportement de reproduction (le but est la copulation, qui permet la fécondation), et chez certains mammifères évolués un comportement érotique (le but est la stimulation du corps et des organes génitaux, qui procure du plaisir érotique).
3- Tous les aspects affectifs et émotionnels (attachement, désirs et plaisirs érotiques, passions ...) en relation avec le comportement sexuel.
4- Tous les aspects cognitifs et culturels (mœurs, représentations, croyances, valeurs, symboles, amour ...) qui sont en relation avec les trois phénomènes précédents.
UNQUOTE

le point 4 est sans équivoque
Pour plus de précision voilà le lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Portail:Sexualit%C3%A9_&_Sexologie

Ton interessante analyse réduit un peu trop le sujet.. Celui ci est d'ailleurs plus sûrement trop large.
troll | 1/25/2009
Zine> Juste un mot.
Ces soirées « Fetish » n’ont pas contribué à « dédramatiser » le BDSM aux yeux de ce que j’appellerais le « grand public » parce que celui-ci, même s'il est devenu plus tolérant, ne connaît pas grand-chose au BDSM (même à l’heure qu’il est) et il en connaît encore moins quant aux soirées « Fetish » : c’est flagrant si on lit les 210 commentaires de l’article de Rue69…

Si le BDSM semble mieux « accepté par la société » aujourd’hui que dans les années 50, c’est tout simplement grâce aux évolutions des mentalités qui ont suivi peu à peu, pas à pas, la "révolution culturelle" que fut la libération sexuelle de deux décennies plus tard.
AURORA | 1/25/2009
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