La "tombe" du BDSM.

donc le mariage est la tombe de la tombe du bdsm
donc... il faut se marier, ça aide, pour le bdsm
en fait le message est catholique : c'est une apologie du mariage destinée au public bdsm

:)

Ca fait froid dans le dos! Ce texte est le contraire complet de ce en quoi je crois...

Je n'ai rejoint cette communauté, (mais peut-on parler de communauté?) que depuis fort peu. Comme toute relation elle se construit et se développe au jour le jour. Au fond, je crois avoir eu de la chance en ne me découvrant pas de bonne heure. Et je précise: j'ai été mariée fort longtemps comme l'on dit pour le pire et le meilleur. C'était superbe. Masi rien à voir avec ce que nous vivons actuellement. Vive l'ignorance en somme. En revanche la photo est amusante.

Alors, ou je trouve une pelle, ou je paye mon Homme, les bons comptes faisant les bons amis et au moins, pas de sentiments, pas de mort et une longue vie à notre relation !
Veaux, vaches et cochonnes sont ainsi bien gradés, argh gardés !
Sinon, la musique fut bonne, bon dimanche !

C’est plutôt un recueil de généralités toutes faites tirées d’une revu de vulgarisation en
psycho-philo. comme on en trouve beaucoup maintenant. Quant à moi disons le clairement, ma première relation sans bdsm fut une tombe pour l’amour et ma deuxième relation avec bdsm porte notre amour ! C’est tout simple. Patrick-Charles

On entend dire que « le mariage est la tombe de l’amour », de la même manière l’amour est la tombe du BDSM....
Hé bé cong, voilà de la bonne grosse kolossale espychologie. Il a fait des études pour ça, le monsieur, ou il a trouvé tout seul ?

Blownblue> Bravo pour le syllogisme même si je ne suis pas certaine qu’il était le but de la plume qui s’exprimait…

Patcharles> J’aurais dû préciser le contexte : il s’agissait de l’intervention la plus construite sur un forum où, pour la énième fois, la question posée était « Peut-il y avoir de l’amour entre un Maître et sa soumise, une Maîtresse et son soumis ? »
La fin (la « tombe » du BDSM) est à pleurer de rire ou à rire pour n’en point pleurer mais le reste du bestiaire (le recueil de généralités) est, ma foi, assez bien vu et sur un forum, les énoncer toutes en même temps requiert un certain courage parce que, fatalement, on dit leur vérité à quelques-uns/unes…

Idalie> Attention ! Ce n’est pas un « monsieur » qui a trouvé ça mais une « dame », Domina de surcroît (et ça n’a rien à voir avec le coup de l’épreuve de littérature au « Bac » Italien de cette année, private joke entre vous et moi !!!)…

Et un sourire aux autres, mes passantes bien-aimées……

Pas tout à fait d’accord avec vous Patcharles quand vous parlez de généralités toutes faites… et surtout pas du tout d’accord avec la Domina italienne quant à sa conclusion.

En effet, les différentes typologies décrites existent bel et bien, même si la plupart des gens se refuse à admettre qu’ils peuvent se superposer à l’une d’elles.

Effectivement, cela peut-être une relation d’ « affaires » … avec certaines Dominas vénales (sujet expressément tabou sur les chats BDSM) qui s’en défendent mais vantent tout de même leur expériences, leur cadre de réception, la qualité de leur matériel et affichent leurs horaires et téléphone à défaut des tarifs sur leurs sites.
Et oui dans ce cas, certain(e)s attendent un service tel qu’on en attend de quelqu’un que l’on rétribue.

Pour ceux qui fréquentent parfois les clubs dédiés,
- qui n’y a jamais croisé un(e) D. dégoulinant(e) de haine pour les s. du sexe opposé et de mépris pour les s. de leur sexe…
- qui n’a jamais rencontré un(e) D. ou un(e) s. prêt(e) à assouvir son envie avec le (ou la) premier(e) inconnu(e) venu(e)…
D’autres jouent en soirée entre amis… en toute amitié.

J’ai toujours dit que je pensais qu’il existait autant de pratiques qu’il existe de pratiquants.

Par contre, il est dit dans le texte qu’a retranscrit Aurora :« La relation entre deux personnes engagées dans des pratiques BDSM n’est pas une relation intrinsèque au BDSM mais elle se superpose à celui-ci. »
Pour ma part, je crois que c’est le contraire, que le BDSM ( ou SM ) peut se superposer à une vraie relation sans dénaturer celle-là dès lors qu’il existe des sentiments forts et réels.

Quant aux opportunités, je n’ai pas très bien compris de quoi elle voulait parler.
L’opportunité d’échanger ses s. pour d’autres pratiques ? Il est vrai que les couples pratiquants et amoureux lorsqu’ils sont farouchement monogames « peuvent poser problème » dans les soirées où il est de bon ton de se mélanger.

Et s’il n’est pas certain que « l’amour soit la tombe du BDSM » il est à peu près sûr que la con…(pardon… la bêtise) fera la tombe de l’Humanité.

j'aime beaucoup ta petite musique de nuit...

Sucer n'est pas tromper.
Toutefois, il peut y avoir entre les protagoniste de la complicité à plusieurs degrés, pouvant aller jusqu'à de l'amour. Mais l'amour est le tombeau de la pipe.

Et la R25-Moquette/Ray-bans le tombeau de l'amour.

C’est juste Aurora c’est un texte très abouti quant à sa construction Du bon travail qui me rappelle les cours magistraux de la fac…. Et certaines émissions de France culture ! Par exemple, écoutez donc l’éloge du savoir à 6h, chaque matin.
J’étais pas dans les mots mais dans dans les idées …
Patrick-charles.

Bonsoir Marden,
Au sujet de la relation, Je pense qu’il y a tout d’abord un homme et une femme qui se découvrent avant la relation bdsm, ensuite c’est exact que les pratiques bdsm se superposent à cette relation née de la rencontre ; Et pour que cette belle histoire puisse vivre, il faut bien une base forte et sincère.
Quant aux relations d’affaires bon nombre d’entre nous ont fait leurs armes de cette façon il n’y à aucune honte à l’avouer.
Au sujet des clubs je n’ai rien à en dire étant resté 5 mm. (…)
Dans le texte, quand son auteur parle «d’opportunités» j’ai compris « solutions » soit des événements qui arrivent et qui peuvent être utilisés. C’est ce que je comprends….
« L’amour étant la tombe du bdsm » j’ajouterai à la bêtise l’ignorance qui feront bien la tombe de l’humanité. On est d’accord ; ça au moins c’est plus que sur !
Cordialement,
Patrick-Charles

Patcharles> J’espère bien que vous ironisiez avec France Culture pour ce texte, sinon nous serions tombés bien bas sur nos radios…
N’écrivez pas non plus : « on est tous passés par là ».
Tout le monde n’a pas eu recours à une domina professionnelle.
Et si votre allusion se voulait à une « professionnelle » en général, vous allez vous prendre la meute des maîtresses vénales aux trousses : comme elles n’ont pas de rapports sexuels avec leurs soumis sur RDV, elles ne sont pas assimilables aux dames qui vendent leurs charmes…
C’est elles qui le proclament haut et fort mais c’est aussi…la loi.