Chère, Très Chère Aurora, Deux lignes pour vous dire combien votre écriture finement ciselée porte et touche. Et vous faire un aveu. Cette courte fiction, je m'y suis un peu "reconnu". J'ai songé à certaine(s) nuit(s) et aux discours entendus alors et aux émois qui ont fait chaviré mon coeur et mon âme. Oui, nous sommes toujours seuls. Depuis la naissance et jusqu'à notre mort, et même dans le jouir. Je dirai : surtout, dans le jouir. Une émotion esthétique et littéraire ce matin pour sublimer le chagrin et tenir à distance les fantômes. Merci, JMD.
Je vous écris par ailleurs dans votre mail-box à propos de l'article sur les représentations de la "scène BDSM" que je viens de terminer pour la revue SOCIETES.