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BDSM Légende: De la femme qui fouette à la femme fouettée (Lou Andréas-Salomé et Friedrich Nietzsche).

AURORA | 7 | 3/14/2007
ce n'est pas toujours celui que l on croit qui tient la cravache ..;-)
lio | 3/15/2007
elle n'a pas consommé dieu merci! ...car pas indemne de toute affection
l'etran G | 3/15/2007
ce n'est pas toujours celui que l on croit qui tient la cravache ..;-)
lio | 3/15/2007
Le commentaire de Etran G a été effacé involontairement parmi une rafale de 1800 spams qui ont touché notre blog (après plus de 600 autres hier) comme les autres blogs de U-blog.

Etran G disait en substance qu'il avait mieux valu que Lou Salomé ne consommât point vu les périls infectieux.

Il s'agissait probablement d'une allusion à la syphilis de Nietzsche.

Je remets ainsi en ligne en présentant mes excuses pour le coup de clic malheureux.
AURORA | 3/15/2007
Est souvent tenu(e) celui/celle qui croit tenir.
jmdevesa | 3/15/2007
« Tu vas voir les femmes, n?oublie pas ton fouet »
Je me permets tout de même de faire remarquer que cette phrase sortie de son contexte peut en effet paraître comme un délire SM. Cependant il me semble bien que ce n'est pas du tout le propos de ce passage de Zarathoustra que je vois plutôt comme un "avertissement" pour ne pas tomber dans un piège évident de la seduction feminine.
Assez proche je dirais de :
"A celui qu'il rencontre, le solitaire trop vite tend la main, mais il faudrait plutôt tendre une patte, et que cette patte ait des griffes" (ce n'est pas la citation exacte mais cela s'en rapproche fortement).
Ensuite il s'agit bien entendu de mon appréciation personnel qui n'est pas forcement la plus objective.
Marvin | 3/16/2007
Marvin> D'accord avec vous. Regardez le nom de la note.
Je la classais à juste titre dans les "légendes"...
AURORA | 3/16/2007
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