BDSM MOTS: FROUS FROUS...
AURORA | 8
| 11/5/2005
Une ruche de beau qui ne se dégonfle pas... ;-)
vanille j aime beaucoup vos texte je ne commente pas souvent mas je viens souvent. surtout la force que vous avez en tant que femme libre
La liberté de la soumise...les contraintes du maître...sourire
C'est rageant, n'est-ce pas Aurora, les gens sans imagination ? Plutôt que de parler - un peu trop rapidement et superficiellement à la suite de certains oui-dire - d'un traumatisme initial... ton interlocuteur devrait aller voir du côté de plus de fantaisie. Par exemple, lire Baudelaire !
Je suis la plaie et le couteau !
Je suis le souffle et la joue !
Je suis les membres et la roue !
Et la victime et le bourreau !
Encore que là, je me demande q'il ne va pas en profiter pour reprendre sa théorie du switch ?
Je suis la plaie et le couteau !
Je suis le souffle et la joue !
Je suis les membres et la roue !
Et la victime et le bourreau !
Encore que là, je me demande q'il ne va pas en profiter pour reprendre sa théorie du switch ?
"Ma soumission, c’est ma liberté. J’ajuste mes frous-frous (...)Je veux qu’il me voie ainsi : belle et enfin réalisée".
J'aime bien votre idée des "frous-frous", Aurora, -- à condition qu'ils ne soient pas trop "chichiteux", si vous voyez ce que je veux dire. Mais j'aime encore mieux me préparer la peau un peu comme un tissu, épiler, exfolier, poncer et hydrater, en faire un papier vierge, dans l'attente sereine des marques futures, contempler avec complaisance mon épiderme inentamé : place nette pour Lui. Me faire belle, afin qu'Il puisse me dé-faire et me re-faire ensuite à son envie entière : pour être toute à Lui. Je crois que, même s'Il ne m'aimait plus un jour,je continuerais à me préparer ainsi, rien que pour le pur plaisir d'être, simplement, lissement, moi -- et peut-être mon âme grandirait-elle encore, malgré ce qu'a écrit notre si cher Pasolini.
J'aime bien votre idée des "frous-frous", Aurora, -- à condition qu'ils ne soient pas trop "chichiteux", si vous voyez ce que je veux dire. Mais j'aime encore mieux me préparer la peau un peu comme un tissu, épiler, exfolier, poncer et hydrater, en faire un papier vierge, dans l'attente sereine des marques futures, contempler avec complaisance mon épiderme inentamé : place nette pour Lui. Me faire belle, afin qu'Il puisse me dé-faire et me re-faire ensuite à son envie entière : pour être toute à Lui. Je crois que, même s'Il ne m'aimait plus un jour,je continuerais à me préparer ainsi, rien que pour le pur plaisir d'être, simplement, lissement, moi -- et peut-être mon âme grandirait-elle encore, malgré ce qu'a écrit notre si cher Pasolini.
Bonsoir,
Ceci n'est pas un ballon,mais un oeuf ou plutôt la fine et pure enveloppe de notre monde originel,
que nous perdons à la naissance.
Cette jeune fille (pur hasard) l'a conservée.
Il lui permet d'entamer un second voyage,
qu'elle a, après un long chemin, put choisir.
Merci pour votre texte. La photo est pour moi un peu trop léchée, un poil sophistiquée.
Marie.
Ceci n'est pas un ballon,mais un oeuf ou plutôt la fine et pure enveloppe de notre monde originel,
que nous perdons à la naissance.
Cette jeune fille (pur hasard) l'a conservée.
Il lui permet d'entamer un second voyage,
qu'elle a, après un long chemin, put choisir.
Merci pour votre texte. La photo est pour moi un peu trop léchée, un poil sophistiquée.
Marie.
Mon traumatisme à moi serait plutôt d'essayer de dominer!
Un superbe texte, comme toujours :)
Merci.
Lilly
Un superbe texte, comme toujours :)
Merci.
Lilly
Bonne continuation pour ce Blog qui commence très fort !
Olivier
Olivier
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