BDSM REFLEXION : ET QUAND C'EST ELLES QUI S'EN VONT ?
AURORA | 31
| 8/8/2005
C'est à mon avis une fausse bonne question. Quand survient la rupture après l'amour, homme ou femme, dominant(e) ou soumis(e), SM ou pas, est-ce si important ? Qu'il soit de soumission ou de tout ce qu'on voudra, "cassure" il y a dans le "processus". Mon humble avis est qu'un chagrin d'amour reste un chagrin d'amour... et je ne pense pas qu'on puisse classer ou hiérarchiser cela.
Et je laisse le dernier mot à Bashung : "Si tu me quittes est-ce que je peux venir aussi ?" ;)
Gilles
| 8/9/2005
Le blog, depuis plus de deux ans, nous invite à nous pencher sur la relation BDSM, et tâcher d'y trouver la relation amoureuse sous ses dehors violents (au sens choquant, s'entend).
Dès lors, il faut se poser la question suivante : s'agissait-il d'une relation amoureuse, ou d'une relation "alimentaire" (vue du dom) ?
Dans le premier cas, il y aura toute la panoplie de constat d'échec, doute, remise en question, et éventuellement nouveau départ. Dans le second, comme dans les couples non BDSM, une de perdue, on fait les boites, et on en retrouve une autre, naïve, prête à tomber dans le piège de l'amour à sens unique.
Le monde n'est jamais aussi manichéen, mais les schemas des relations "conventionelles" s'appliquent là aussi, de la même façon. La différence de quantité de littérature vient très raisonnablement d'un mélange entre la culture de l'homme stoïque, et du dominateur infaillible.
ernest
| 8/9/2005
je peux repondre au moins partiellement , ayant quitté un "dominant" après quelques années d'amour fou , car il a dépassé les limites bien que je l'en ai prévenu plusieurs fois . Mais"il me connaissait mieux que moi même ". eh bien , après l'hébétitude de ne rien avoir compris( mais c'est encore sans doute moi qui n'ai rien compris à moi-même, d'après lui ) il est devenu fou ,de douleur, de rage sans encore et toujours admettre qu'il avait en face de lui une femme et non pas une poupée . et il essaie de me détruire , par tous les moyens . Mais il n'y arrivera pas . Car je suis forte et lui est faible . Amen .
elle-meme
| 8/9/2005
En réponse à "elle-même", le récit de sa rupture me rappelle étrangement la mienne d'avec un ex on ne peut plus "vanille" mais violent... Lui non plus n'avait rien compris aux avertissements, n'a rien vu venir ! Je crois que cela n'a rien à voir avec le fait d'être dom ou non, il semble que ce soit essentiellement masculin...
Comme il est dit dans les autres commentaires, je pense aussi qu'à ce moment là, il n'y a plus qu'un homme blessé... Quelque soit la nature de la relation, ca reste un chagrin d'amour somme toute classique (du moins il me semble). C'est cependant vrai que le témoignage de ces messieurs serait on ne peut plus intéressant à connaître.
Isafc70
| 8/9/2005
sauf que cet homme se disait maitre de lui même et de moi ( ce que j'ai toujours contredit au fond de moi même) et qu'au lieu d'un dominant comme il l'affirmait, je n'ai vu quand j'ai ouvert les yeux , bien que je l'aimais encore, que ce qu'il était vraiment un manipulateur odieux et violent sous couvert de SM . J'y ai cru, le sm pour moi n'est plus qu'une farce macabre
elle-meme
| 8/9/2005
Il ne faut pas faire d'un exemple déplorable une généralité. Il est vrai que des manipulateurs de ce genre nagent dans les eaux du SM, comme dans d'autres eaux ! Le comportement que tu décris est pathologique, au même titre que celui de mon ex. Cela n'a rien à voir avec le SM... Il aurait eu le même dans une relation "vanille".
Isafc70
| 8/9/2005
En première approche et se gardant bien de tout manichéisme, on peut déjà répondre qu'il n'y a pas "une" sorte de Maître...
Ensuite, et toujours hors du chagrin d'amour classique, bien sûr que certains Maîtres très investis dans leur histoire d'amour, mais aussi dans leur "rôle" restent meurtris par une ruputure, au point même de mettre entre parenthèses le BDSM, et pendant plusieurs années.
Le couple "Maître-soumise" s'engendre mutuellement, si l'on veut bien parler d'autre chose que d'une ou quelques séances isolées. Ce n'est pas le Maître qui "fait" la soumise, le soumise "fait" aussi le Maître, s'il y a vraie et forte relation bilatérale. Ainsi le Maître peut être "défait" après la rupture, qu'elle vienne d'elle ou de lui.
Je pense souvent qu'une soumise, quand vient la séparation reste une soumise sans Maître, et que le Maître, lui, n'est rien sans soumise.
Donc, Aurora, oui ; elle existe la douleur du Maître... Elle peut être intense et longue. Qu'elle soit moins "racontée" que d'autres, peut-être faut il y voir une réminiscence de ce que fût son "statut" dans la relation ? Ca peut être une question.
ELLE MEME, l'attitude dont tu parles pour ton ex, n'a rien de spécifique au "Maître" ni même à l'homme. Certains psychologues appellent cela la "pétrification" : on ne peut plus atteindre l'autre qu'en lui nuisant, dont acte... C'est un sinistre épisode dans certaines ruptures...
Amandier75
Amandier75
| 8/9/2005
Désolé, il manquait la moitié de ma réponse dans le post ci dessus ! La voici dans son intégralité !!
Il semble que les réponses partent un peu dans tous les sens, non...?
Aurora a bien ciblé son sujet : hors le "chagrin d'amour ordinaire" y a t il une souffance spécifique du Maître (ou du dominant, etc ) ?
En première approche et se gardant bien de tout manichéisme, on peut déjà répondre qu'il n'y a pas "une" sorte de Maître...
Ensuite, et toujours hors du chagrin d'amour classique, bien sûr que certains Maîtres très investis dans leur histoire d'amour, mais aussi dans leur "rôle" restent meurtris par une ruputure, au point même de mettre entre parenthèses le BDSM, et pendant plusieurs années.
Le couple "Maître-soumise" s'engendre mutuellement, si l'on veut bien parler d'autre chose que d'une ou quelques séances isolées. Ce n'est pas le Maître qui "fait" la soumise, le soumise "fait" aussi le Maître, s'il y a vraie et forte relation bilatérale. Ainsi le Maître peut être "défait" après la rupture, qu'elle vienne d'elle ou de lui.
Je pense souvent qu'une soumise, quand vient la séparation reste une soumise sans Maître, et que le Maître, lui, n'est rien sans soumise.
Donc, Aurora, oui ; elle existe la douleur du Maître... Elle peut être intense et longue. Qu'elle soit moins "racontée" que d'autres, peut-être faut il y voir une réminiscence de ce que fût son "statut" dans la relation ? Ca peut être une question.
ELLE MEME, l'attitude dont tu parles pour ton ex, n'a rien de spécifique au "Maître" ni même à l'homme. Certains psychologues appellent cela la "pétrification" : on ne peut plus atteindre l'autre qu'en lui nuisant, dont acte... C'est un sinistre épisode dans certaines ruptures...
Amandier75
Amandier75
| 8/9/2005
les psychiatres appellent cela de la psychopathie et de la perversion . Mais comme vous ne connaissez pas mon histoire, il est évident que vous ne pouvez savoir . je n'ai jamais été soumise , je l"ai simplement singé par amour . D'où peut être sa méprise . il a toujours été SM et ne sais pas faire autrement . D'où sa panique . Mais c'est une autre histoire
elle-meme
| 8/9/2005
Attention, si le SM est une perversion, l'homosexualité l'est aussi, de même que l'amour platonique...
J'ai toujours très peur en enttendant sexualité et perversion dans la même phrase. D'une part, de l'interprétation de la phrase qui va en être faite. D'autre part, de l'odeur de peste brune qui s'en dégage...
Le BDSM n'est pas un choix, ça nous tombe dessus. Il faut faire avec. Et il n'est pas synonyme de destruction mutuelle. Il s'agit d'une forme de plaisir associée à la douleur. Pour paraphraser Aurora, un vilain tour joué par les hormones. Pas le choix, il faut vivre sa sexualité avec. Après, qu'il y ait des psychopathe qui en jouent, je n'en doute pas. Mais il faut faire très attention à ne pas généraliser trop rapidement...
Mais peut-re, Elle-meme, ai-je mal compris vos propos ?
ernest
| 8/9/2005
vous avez tres bien compris mes propos , et je dois dire avoir rencontré pas mal de soumises détruites par leur soi disant maitre . le plaisir du dominant est lequel ? je n'ai jamais réussi à obtenir d'eux une vraie réponse . Mais je ne suis pas SM ( ou plus ? mais l'ai je été?). lui était (est )plus "gourou" qu'autre chose , et pourtant .il a servi et sert de référence comme "modèle" du "vrai Maître".la perversité en sexualité existe à partir du moment ou l'autre est un objet, c'est cela la perversion, l'homosexualté n'en fait pas partie .l'amour platonique peut l'être si l'autre n'est que l'objet d'amour . et est donc nié en tant qu'être humain .
elle-meme
| 8/9/2005
et ps je n'ai pas écrit que le sm etait une perversion mais que cet homme est un pervers c'est différent , car utilisant l'amour que l'autre lui porte pour arriver à ses fins .c'est à dire l'abandon de toute personnalité .et de bien d'autres choses plus terre à terre .
elle-meme
| 8/9/2005
l'Amour est toujours l'Amour et un Maître qui aime sa soumise ne peut que souffrir d'Amour quand elle décide de le quitter.
michel
| 8/9/2005
>Elle même. Vous savez que j?ai toujours déploré que la langue française désigne par le même mot : « pervers », autant celui qui s?abandonne à ses perversions (souvent innocentes) que celui qui atteint de perversité fait tout pour détruire l? « Autre » (pendant ou après une relation). Je ne vous ferai pas l?insulte d?une explication mais vous conviendrez sûrement que seule la perversité relève de la psychopathie au sens clinique du terme. Malheureusement rien n?empêche certains représentants de l?espèce humaine de cacher l?une sous les autres ou même pire, de cumuler les deux.
Et comme le dit Amandier75, ce que vous fait subir votre ex-compagnon ( je n?emploie pas le mot dominateur intentionnellement) n? a rien à voir avec une relation BDSM. J?en voudrai pour preuve le comportement de mon ex-épouse qui après notre séparation a essayé par tous les moyens tant administratifs (destruction de documents, envoi de documents fallacieux à l?Ave. Victoria pour me faire révoquer par mon administration) que financiers (vidange totale de tous les comptes bancaires et CEA) et familiaux ( malgré 6 enquêtes sociales plus ou moins diligentées à sa demande, j?ai toujours conservé la garde de nos enfants, mais lorsque j?ai déménagé pour « nous rapprocher » des grands parents, elle a tout de même déposé une plainte pour enlèvement d?enfants? ce qui m?a valu une « arrestation » avec menottes un matin à 6 heures devant les enfants? plus 23 plaintes pour « non-présentation », toutes classées sans suite par le « proc » qui connaissait bien le dossier). Et 13 ans après, cela continue sporadiquement? et sur ses 6 enfants maintenant tous majeurs, une seule lui adresse encore la parole et accepte de la voir !
J?aurais pu par « transfert » (comme disent les psychiatres) haïr les femmes? Il n?en est rien heureusement. Aussi je crois (mais cela n?engage que moi) qu?il ne faut jamais faire l? amalgame ( le transfert n?étant alors pas loin) entre une situation (ou un mode de vie ou un groupe de personnes) et celui ou celle qui nous la (l?a) fait vivre.
Pour résumer, je dirais que lorsqu?un mode de vie (fusse une sexualité vue de l?extérieur comme une perversion) a de tels accents de vérité, il n?est peut-être pas nécessaire de jeter le bébé avec l?eau du bain.
Très cordialement.
MARDEN
Le M. d'AURORA
| 8/9/2005
certes , mais je l'ai rencontré et il m'a fait découvrir le SM vous comprendrez donc que le Sm , je le rejette maintenant c'est très simple .. je n'ai toujours pas parlé de SM en tant que perversion .. le transfert est touit à fait autre chose .. un rapport entre le patient et son psy . vous parlez de réaction . bonne soirée .
elle-meme
| 8/9/2005
Je sais d'après expérience, qu'au-delà du "simple" chagrin d'amour, dont je ne minimise pas du tout l'impact ni la portée, lors d'une rupture dans une relation SM, il y a une autre sorte de "fêlure", bien particulière, qui se faufile dans le ceur de la soumise (moi en l'occurence et mon opinion n'engage que moi je le précise). Comme le dit si bien Aurora, un sentiment de "ne pas avoir été à la hauteur". Non pas de ce que mon Maitre aurait voulu de moi, mais de ce que j'exigeais de moi-même en termes de soumission et de dévotion totales envers lui. Je veux dire que quand il y a rupture dans une relation SM, il y a aussi rupture de cette douce illsion que j'entretiens en moi en tant que soumise et qui veut que je sois prête à me dévouer entièrement à mon Maitre, coûte que coûte. Vous me direz que ce n'est qu'illusion et je suis d'accord. Mais j'ajouterais que toute relation, qu'elle soit SM ou pas, porte en elle son "quota" d'illusion et d'idéalisme. Mais là n'est pas le sujet.
En fait et par extension, je penserais qu'une fêlure similaire se formerait pour le Maitre. A savoir la rude réalité de se rendre compte qu'on n'est maître que de ce que la soumise veut bien "prêter" à son Maitre. Que la domination n'est finalement qu'un "prêt d'honneur" très conditionnel.
Ce n'est là qu'une hypothèses. Si je la formule, c'est pour essayer de replacer la discussion dans le sens dans lequel Aurora l'a lancée. Messieurs, Amandier et Marden et tous les autres qui lisent, si vous êtes passés par là, comment avez-vous ressenti la rupture dans une relation SM? Particulièrement dans une relation SM où les deux partenaires étaient pleinement consentants et impliqués, sans "victimisation" ni "sacrifice"..
Dans l'impatience de vous lire, cette question m'important au plus haut point.
Sincèrement
naybuleuse
naybuleuse
| 8/9/2005
Elle-même> Oui, vous l?avez rencontré et, puisque je connais l? « histoire » dont vous donnez ici l?autre côté du miroir, il était effectivement de ceux qui, en apparence, peuvent servir de modèle au « vrai maître ». Alors, on ne peut qu?une fois de plus dire « méfiance ». Méfiance toujours. Au niveau du vocabulaire aussi. Ceux qui prétendent nous « connaître mieux que nous-mêmes » ( et cela a tout le charme du Guide et du Mentor, charme vers lequel me pousse ma sensibilité propre) peuvent un jour faire tout autre usage ( utiliser l?amour, comme vous l?écrivez) de ce qu?on leur avait offert en les « élisant ». Une femme n?est pas, ne sera jamais une poupée. Pas plus en SM qu?ailleurs. La vie révèle, tant et plus et partout, bien des abus Tout cela a été votre histoire, votre expérience. Elle vous entraîne loin des rivages du SM. C?est votre choix. Tout ce que l?on peut faire est de le constater.
Amicalement à vous.
>Je vois qu?à l?exclusion du texte très complet d?Amandier75, peu de dominateurs sont venus répondre sur ce fil de commentaires. Est-ce la chaleur ? Les vacances ? Ont-ils mieux à faire ? La question était mauvaise ? Fuient-ils ce blog ? On souhaite donc qu?ils soient plus nombreux à répondre à la même question, mais posée avec plus de précisions par Naybuleuse dans le commentaire ci-dessus.
;-)) d?
AURORA
AURORA
| 8/9/2005
>Naybuleuse. J?ai comme tout le monde vécu quelques ruptures sentimentales (vanilles) qui ont été plus ou moins douloureuses selon l?implication affective ou amoureuse. En ce qui concerne le BDSM, j?ai toujours aimé le rôle du Pygmalion et pratiqué de façon S.S.C. Sachant donc qu?un jour la « Galatée » prendrait son envol, la fin de ces relations s?est faite le plus souvent d?un commun accord sans rancune et sans ranc?ur puisque, sans sentiment amoureux. Nous avions parcouru et étions arrivé au bout du chemin qui nous était commun. Je ne le regrette pas (je ne regrette rien) puisque tout cela a changé lorsqu?il y a quelques années, j?ai rencontré AURORA. Mais ceci est une autre (notre) histoire. Cordialement
MARDEN
Le M. d'AURORA
| 8/10/2005
bien sur il y a cassure, fèlure en soi, on se demande si on est soi même quelqu'un et en tout cas on doute de sa capacité à etre un bon Maitre; un Maitre incapable de garder sa soumise ne l'est pas et ne peut que se remettre en cause . La remise en cause de soi fait toujours attrocement mal. Il faut tout recommencer!
michel
| 8/10/2005
> naybuleuse Ne pas y voir un évitement de ma part, mais je ne peux, ne veux, ni ne saurais raconter par le détail la souffrance qui peut suivre une telle rupture. Je peux juste préciser qu'il peut s'en suivre une réelle félure (le mot a été employé par toi), bien spécifique, qui en intensité et en durée va nettement au delà d'un "classique" chagrin d'amour. Une reconstruction s'impose... J'adhère tout à fait à ton idée du "prêt d'honneur". Tout repose sur cela. Y compris la souffrance spécifique de la soumise... ou/et du Maître lorsqu'il y a ruputure. N'avoir pas été à la hauteur, sans doute ; il doit y avoir beaucoup de ce ressentiment là,oui. Il n'est pas du tout certain qu'il soit plus justifié d'un côté que de l'autre, d'ailleurs.
Amandier75
Amandier75
| 8/10/2005
J'ai cherché dans le dictionnaire pour Galatée ;) et j'adhère à la remise en question en voie d'une reconstruction. Des deux bords. Quant au "prêt d'honneur", c'est un terme que j'emprunte à un ami qui m'est particulièrement cher. Merci à tous les trois pour vos réponses.
Sincèrement,
naybuleuse
naybuleuse
| 8/10/2005
il m'a laisser au bout de deux ans de vie commune du jour au lendemain je suis en train de mourrire de l'interieur ces amis sont autour de lui et moi g personne pour serrer dans mes bras g besoin qu'on me console j'en pe plus de pleurer jour et nuits j'ai po manger depuis trois jours aider moi
allys
| 9/3/2005
il m'a laisser au bout de deux ans de vie commune du jour au lendemain je suis en train de mourrire de l'interieur ces amis sont autour de lui et moi g personne pour serrer dans mes bras g besoin qu'on me console j'en pe plus de pleurer jour et nuits j'ai po manger depuis trois jours aider moi
allysone76
| 9/3/2005
Alors, comme vous semblez en manque de réponse de mâle dominant, je vous fait parvenir un simple texte qui pourra peut-être vous éclairez sur les émotions que peuvent être ressenti par un mâle dominant lors d'une rupture BDSM. Finalement, y'a pas de réponse à ca puisque chaque rupture, comme chaque rencontre et chaque relation est différente. La rupture peut être une grande douleur, un grand vide mais aussi un soulagement, une délivrance et même une source de stress naissante. En passant allys, prend toi en main et mange, tu nous fais plus la démonstration d'une accro que d'une soumise se respectant. Chercher une réponse unique semble utopique puisqu'on parle à la base de milliers et millions de personnes et d'autant de réactions. Chaque fin de relation amène plein de sensations, des meilleurs aux pires et c'est là que chacun en fait son bilan final mais comme mentionné plus haut, bien des gens ne s'en serviront pas comme auto évalutaion, autant dans leur rôle, dansleurs facons de faire ou de la nature même de cette relation terminée.
WiLdNfReE
| 9/30/2005
>WiLdNfReE : Je comprends mal ce texte, qui semble en partie s'adresser à une certaine allys ( que nous n'avons pas chez nous, juré! Lol!). J'espérais qu'une visite sur votre blog me ferait tomber sur une note l'explicitant mais non... Votre blog ( et grand bien lui fasse!) n'a rien à voir avec le BDSM, les mâles dominants etc... Alors, je ne peux donc lire votre commentaire que comme un texte "en général" sur la rupture... Je vous remercie cependant d'être passé participer.
Cordialement,
AURORA
AURORA
| 10/1/2005
Nice.
Alfonz
| 10/4/2005
I'll be BACK! :) ;)
produttori
| 2/16/2007
Chi ha fatto questo? E un buon posto per trovare le informazioni importanti!:)
giorgia palmas
| 2/22/2007
Luogo molto buon:) Buona fortuna!
libera
| 2/24/2007
Dein Aufstellungsort verdient nur gute Woerter. Danke.
Quand survient la rupture après l'amour, homme ou femme, dominant(e) ou soumis(e), SM ou pas, est-ce si important ?
Qu'il soit de soumission ou de tout ce qu'on voudra, "cassure" il y a dans le "processus".
Mon humble avis est qu'un chagrin d'amour reste un chagrin d'amour... et je ne pense pas qu'on puisse classer ou hiérarchiser cela.
Et je laisse le dernier mot à Bashung :
"Si tu me quittes est-ce que je peux venir aussi ?" ;)