BDSM : L'ENCYCLOPEDIE BDSM D'AURORA 125 M COMME MARGE ...
AURORA | 8
| 6/20/2004
Très belle peinture, du rouge, du mauve, du gris ... Tout le monde change et rien ne change ;°)
Constat en demi teinte, effectivement.
Mais bon, à quoi sert cette "appartenance" artificielle à une génération ? Je préfère de loin celle à des valeurs, des goûts, des envies... se créer la famille ou le clan qu'on désire.
La fée Carabine... mmm... je me ressortirais bien mes Pennac ce soir moi, tiens...
Mais bon, à quoi sert cette "appartenance" artificielle à une génération ? Je préfère de loin celle à des valeurs, des goûts, des envies... se créer la famille ou le clan qu'on désire.
La fée Carabine... mmm... je me ressortirais bien mes Pennac ce soir moi, tiens...
Un mouton noir qui a gardé ses idéaux, c'est bien mieux qu'un mouton blanc qui suit le troupeau ^^
(oh, ça rime :D)
(oh, ça rime :D)
Chère AURORA, les générations se succédent et rencontrent les même problèmes en se confrontant (nécéssairement ? La réponse : oui, est seulement la mienne) aux même tâches(?)
J'ai eu l'impréssion de me lire....!
Je mets là quelques bémols ou dièses (la distinction vous appartient) qui tiennent à ce que c'est, évidement, VOUS que j'ai lu.
Avec l'âge (un des nom que nous donnons à l'expérience vivante) les goûts changents. Les goûts, pas l'inclination, les préférences, ou encore ce que l'on nomme le désir (qui pour moi n'a rien à voir avec le manque: il s'agit alors du besoin ou de l'envie), les "habitus" (non, non pas Bourdieu !) qui eux/lui ne changent pas mais s'accroissent en eux-même d'eux-même.
La pente naturelle de l'esprit est de prendre ses goûts pour ses inclinations, ses envies pour ses habitus, ses besoins pour son désir. L'esprit prend, bien plus souvent qu'il ne le pense, les lanternes qui le guident pour de trompeuses vessies que l'inverse qu'il tient pour sagesse commune et vénérable.
Il est très difficile de ne pas confondre "la pernanence" que chacun de nous est avec la "rigidité". Il est très compliqué de ne pas "sombrer" en l'exprimant par le "conservatisme", la "crispation" ou la "hantise".
Ceux-là qui s'en tiennent aux "changements" n'échappent pas au problème de sa permanence obligée. De nouveau en nouveau, d'inédit en inédit, le "changer" se conserve et les emportent(!!??)
Il n'y a aucune promesse dans le "monde", le monde ne "donne", ne "fait" aucune promesse. Qui a vraiment la force de l'accepter ? Je n'oserai...
Un certain Jesus, condamné pour n'avoir pas repirs la réponse faites à la promesse du monde, aurait dit peu avant de mourrir : "Père, pardonnes leur car ils ne savent pas ce qu'ils font." Certains ont cru que c"était une nouvelle promesse, d'autres que jamais rien ni personne n'avit à faire de promesse dans ce monde. Rare ceus qui se sont promis de s'en tenir à la vie et à ce qu'elle donne sans retour.
Houlala...AURORA, je m'en vais, vous me faites délirer...
Cordialement,
Trasimarque.
J'ai eu l'impréssion de me lire....!
Je mets là quelques bémols ou dièses (la distinction vous appartient) qui tiennent à ce que c'est, évidement, VOUS que j'ai lu.
Avec l'âge (un des nom que nous donnons à l'expérience vivante) les goûts changents. Les goûts, pas l'inclination, les préférences, ou encore ce que l'on nomme le désir (qui pour moi n'a rien à voir avec le manque: il s'agit alors du besoin ou de l'envie), les "habitus" (non, non pas Bourdieu !) qui eux/lui ne changent pas mais s'accroissent en eux-même d'eux-même.
La pente naturelle de l'esprit est de prendre ses goûts pour ses inclinations, ses envies pour ses habitus, ses besoins pour son désir. L'esprit prend, bien plus souvent qu'il ne le pense, les lanternes qui le guident pour de trompeuses vessies que l'inverse qu'il tient pour sagesse commune et vénérable.
Il est très difficile de ne pas confondre "la pernanence" que chacun de nous est avec la "rigidité". Il est très compliqué de ne pas "sombrer" en l'exprimant par le "conservatisme", la "crispation" ou la "hantise".
Ceux-là qui s'en tiennent aux "changements" n'échappent pas au problème de sa permanence obligée. De nouveau en nouveau, d'inédit en inédit, le "changer" se conserve et les emportent(!!??)
Il n'y a aucune promesse dans le "monde", le monde ne "donne", ne "fait" aucune promesse. Qui a vraiment la force de l'accepter ? Je n'oserai...
Un certain Jesus, condamné pour n'avoir pas repirs la réponse faites à la promesse du monde, aurait dit peu avant de mourrir : "Père, pardonnes leur car ils ne savent pas ce qu'ils font." Certains ont cru que c"était une nouvelle promesse, d'autres que jamais rien ni personne n'avit à faire de promesse dans ce monde. Rare ceus qui se sont promis de s'en tenir à la vie et à ce qu'elle donne sans retour.
Houlala...AURORA, je m'en vais, vous me faites délirer...
Cordialement,
Trasimarque.
Pour les inconditionnels de la "permanence" de l'orthographe je mets là quelsque x,s et autres signes qu'il disposerons là où le "changement" les insupporte dans mon commentaire.
Aurora,
Mazette,ou c'est un coup de blues,ou c'est un coup de vieux...Personnellement,les utopies de 68,j'y croyais modérément,j'aimais l'ambiance,les couleurs les musiques,et le recul(le recentrage)des années 80 ne m'a pas tant surpris que cela:il fallait vite enterrer ce dontbeaucoup avait honte,une certaine candeur idéologique,leur jeunesse dorée;quand ce terrain-là a été deserté,j'ai commencé à l'investir tranquillement,sans nostalgie,et j'ai eu le plaisir d'y rencontrer des gens plus jeunes,plus lucides sous leurs airs blasés,plus résistants parce que blessés.
Vraiment,je ne suis pas décu par la génération actuelle,quand à ceux de la mienne qui se sont reniés,c'est en face de leur miroir qu'ils règleront "l"affaire,"chacun a ses raisons",comme disait Renoir.
Tous les combats sont perdus d'avance mais les reves n'ont pas de fin(ouh là là,je deviens sentencieux).
J'aurais mieux fait de vous dire que tout simplement,on peut se sentir trahi par le temps qui passe...
Mazette,ou c'est un coup de blues,ou c'est un coup de vieux...Personnellement,les utopies de 68,j'y croyais modérément,j'aimais l'ambiance,les couleurs les musiques,et le recul(le recentrage)des années 80 ne m'a pas tant surpris que cela:il fallait vite enterrer ce dontbeaucoup avait honte,une certaine candeur idéologique,leur jeunesse dorée;quand ce terrain-là a été deserté,j'ai commencé à l'investir tranquillement,sans nostalgie,et j'ai eu le plaisir d'y rencontrer des gens plus jeunes,plus lucides sous leurs airs blasés,plus résistants parce que blessés.
Vraiment,je ne suis pas décu par la génération actuelle,quand à ceux de la mienne qui se sont reniés,c'est en face de leur miroir qu'ils règleront "l"affaire,"chacun a ses raisons",comme disait Renoir.
Tous les combats sont perdus d'avance mais les reves n'ont pas de fin(ouh là là,je deviens sentencieux).
J'aurais mieux fait de vous dire que tout simplement,on peut se sentir trahi par le temps qui passe...
Corentin>Ni coup de blues ni coup de vieux...
Coup de gueule sur une génération coincée entre deux et qui n'a pas bien, selon moi, négocié son virage.
J'ai bien dit "selon moi".
Et à côté de ça, un mot aussi sur la marginalité, jamais tout à fait acceptée malgré des airs de "tout est permis tout est possible"...
Amitiés à toutes et tous.
AURORA
Coup de gueule sur une génération coincée entre deux et qui n'a pas bien, selon moi, négocié son virage.
J'ai bien dit "selon moi".
Et à côté de ça, un mot aussi sur la marginalité, jamais tout à fait acceptée malgré des airs de "tout est permis tout est possible"...
Amitiés à toutes et tous.
AURORA
Aurora : d'accord sur la marginalité inncaceptée. Brassens en a parlé, je crois, à sa façon, comme il a parlé des cons : les bourgeois... Ceux qui à 20 ans refont le monde, et à 40 (approximation) se félicitent du confort de leurs pantoufles et défendent avec crocs et dents leurs habitudes et leur droit à leur petit confort mental et matériel... " Tout est permis..." Surtout pour moi.
J'ai tenté de laissé 1 remarque sur ton post dans ton blog archives (je crois)... Disparu.
Amitié - Le K
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Amitié - Le K
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