LES WEBLOGS ET ... HENRY MILLER.
AURORA | 4
| 4/22/2004
je connaissais nin, pas mal, mais moins bien miller, merci pour la découverte.
Il écrit vraiment bien , même si je n'aime pas le fond du personnage, sa haine de Dieu : il est mort en crachant cette haine, blasphémant comme un taureau rouge... Admirable de cohérence avec sa vie, mais quelque chose de terrible aussi quand même ... Que fuyait-il donc?
Mais un ' grand' écrivain.
Mais un ' grand' écrivain.
Aurora,
Bonjour...
J'ai lu H.Miller à mon adolescence...quel pied de découvrir cette liberté d'écrire, de vivre et de baiser comme un beau diable...et pour mépriser l'idée de dieu, il n'est pas nécessaire de fuir quoique cela soit...être un doux et sauvage mécréant suffit...
Cordialement.
Thierry
Bonjour...
J'ai lu H.Miller à mon adolescence...quel pied de découvrir cette liberté d'écrire, de vivre et de baiser comme un beau diable...et pour mépriser l'idée de dieu, il n'est pas nécessaire de fuir quoique cela soit...être un doux et sauvage mécréant suffit...
Cordialement.
Thierry
incroyables les croyants !
dieu est une charogne depuis belle lurette, et pourtant Miller y croit, et pourtant Ophir Maman ne voit pas que Miller y croit, et pourtant Ophir Maman s'excite sur la supposée attaque de Dieu par Miller !
Je suis en train de lire "le Temps des assassins", scandaleuse récupération néo-chrétienne de Rimbaud par Miller (une récup aussi scandaleuse que celle opérée un peu plus tôt par l'infâme Claudel) et néanmoins très belle lecture, qui devrait éclairer un peu la lanterne sale d'Ophir Maman.
L'ennemi des athées, c'est bien Miller. "Comment ? Ce vieux sage dans sa forêt n'a donc pas encore appris que Dieu est mort ?" (disait à peu près Nietzsche dans le Zarathoustra)
dieu est une charogne depuis belle lurette, et pourtant Miller y croit, et pourtant Ophir Maman ne voit pas que Miller y croit, et pourtant Ophir Maman s'excite sur la supposée attaque de Dieu par Miller !
Je suis en train de lire "le Temps des assassins", scandaleuse récupération néo-chrétienne de Rimbaud par Miller (une récup aussi scandaleuse que celle opérée un peu plus tôt par l'infâme Claudel) et néanmoins très belle lecture, qui devrait éclairer un peu la lanterne sale d'Ophir Maman.
L'ennemi des athées, c'est bien Miller. "Comment ? Ce vieux sage dans sa forêt n'a donc pas encore appris que Dieu est mort ?" (disait à peu près Nietzsche dans le Zarathoustra)
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