"Je ne mourrai pas ! je ne mourrai pas, et je suis immortel !" (Claudel, "L'Esprit et l'eau") C'est aussi ce que disent Tête d'Or -- sans oublier Caligula, "Je suis toujours vivant !". Peut-être ne meurt-on que si on le veut bien, in fine -- de renoncement, de fatigue, de démission ? Mais nous ne mourrons pas vraiment : la preuve, c'est que le dernier mot de votre poème est "féconds"
Idalie Felix
| 3/19/2010
magnifique poème! je reste ardante quoiqu'absente ce week-end pour cause de musiques
fleurdatlas
| 3/19/2010
Bonjour. Concernant un photographe découvert ici, Eric Keller (merci), je souhaite signaler l'expo Phantasmes: http://cabinetcurieux.com/crbst_10.html à laquelle ce photographe participe... Certes le vernissage, hier soir, ne fut pas des plus agréables, à cause de la foule et de l'exiguïté des lieux, mais j'y rencontrai l'auteur de ces photos que j'aime. Je vous invite à aller découvrir ça .
Nikole
| 3/19/2010
"On pleure les LEVRES absentes De toutes ces belles passantes Que l'on n'a pas su retenir" (Antoine Pol)
Joel Faure
| 3/19/2010
Bonsoir Aurora, Juste une suggestion : vous devriez répéter le titre du poème, juste au dessus du texte. En le laissant là-haut, il passe inaperçu, et dans le cas présent c'est vraiment dommage. J'en ai marre, Joël m'a encore piqué mon idée ! Bon...
"Hé ! donn' moi ta bouche, hé ! ma jolie fraise !" G. Brassens (Comme hier)
le Bas des Dames
| 3/19/2010
Chère Nikole> Je comptais y consacrer ma note de demain, d'autant plus que l'"amie" Julia Dasic fait elle aussi partie des artistes exposés... Merci à vous d'avoir signalé cet événement dès l'ouverture...
AURORA
| 3/20/2010
"mes digues sont ouvertes" oui j'aime ces mots parce qu'à la fois elle attendent et laissent passer oui nous mourrons ma belle un jour mais en attendant laissons nous "ouvertes" je t'embrasse je suis passée plusieurs fois chez toi de la montagne j'arrive et mes premiers mots sont là je t'embrasse
jeanne
| 3/20/2010
je trouve ce texte superbe ce partage des eaux.....
C'est aussi ce que disent Tête d'Or -- sans oublier Caligula, "Je suis toujours vivant !".
Peut-être ne meurt-on que si on le veut bien, in fine -- de renoncement, de fatigue, de démission ?
Mais nous ne mourrons pas vraiment : la preuve, c'est que le dernier mot de votre poème est "féconds"