UNe belle histoire s'est incrite. Le livre s'est refermé...Un nouveau s'ouvrira...Courage
patcharles
| 12/18/2009
Je viens de rentrer et je peux afficher mon blog, ce qui ne m'est pas autorisé là où je travaille. Je tiens à dire à toutes celles et ceux qui m'écrivent combien leurs messages sont importants pour moi. Je vais répondre petit à petit, ce soir et demain. Je laisse les commentaires qui sont au bas de cette page même si je n'en voulais pas puisqu'ils respectent la dignité que je désire pour cette note. Une pensée aussi à ceux qui "trichent" et répondent sur des posts précédents (Columbine, sachez que votre "retour" m'a fait du bien...). A cette heure, il est déjà un quelque chose que tous vos petits mots ont permis: le passage de mon état de déni ou de sidération à celui de la douleur telle qu'elle doit s'exprimer : grâce à vous toutes/tous, je viens de commencer à me laisser aller à sangloter...
AURORA
| 12/18/2009
je brave les interdits(comme d'hab)..., je tends la main, de la paume j'effleure ton visage, délicatement, avec tendresse, je voudrais tant que tu t'y appuies, l'espace d'un instant...
serge
| 12/19/2009
Aurora combien je te trouve belle, j'ai toujours admiré ton côté femme libre dans tes jeux de soumise, ces jeux auxquels je ne saurais jamais me soumettre. Je me souviens que tu disais que après Marden tu pourrais tout à fait reprendre une vie vanille. Alors quel que soit ton chemin de femme libre Aurora je te le souhaite aussi beau que tu es belle. Merci pour tout le temps que tu nous as consacré.
Elisa
| 12/20/2009
c'est assez curieux quand j'ai commencé a lire ce texte , ton texte , j'ai cru que tu etais en train de mourir (au sens propre du terme) mais non...tu es vivante ,
ce texte est de coluche ...
je clignote au bord de l'autoroute j'ai pas fini de vomir ma biere le soleil en a rien a fouttre mon estomac fait sa priere trop d'amour me pèse toi tu me quitte sans rigoler c'est comme si j'avait avalé une chaise il faut beaucoup que je boive pour digérer
t'en fais pas c'est pas la fin du monde d'autre filles passeront sous les ponts et la nature quele soleil innonde nous rechante chaque fois sa chanson
j'ai pas vu la tete du facteur mon téléphone ne sonne plus les oiseaux crient des sons moqueurs y'a plus personne qui m'aime plus le bar est plein de solutide mon amour n'est plus de saison je ne bois pas par habitude mais pour douter de ma passion
refrain
l'armée rouge a défilé dans me tète je leur ai fait monter de l'aspirine z'ont quand même fait leur 8 heures comme des bètes me v'la mouillé dans une drôile de combine le vent m'apporte des odeurs de frittes tout le monde me r'connais dans la rue j'ai la boule coincée dans mon flip y manquerai plus qu'un oiseau me chie dessus
refrain
j'ai pas aimé comme tu es partie j'ai senti ma tète écraser le poteau toi tu voulais qu'on reste bons amis je ne me vois déjà plus sur les photos je me fou de l'odeur des roses et de celle qui pourra m'aimer les gens me parlent d'autre choses y'en a pas un qui m'aidera à pleurer
loubill et moi
| 12/20/2009
De rien Aurora. Désolé pour cette triste fin. Je ne peux que t'encourager à tenir bon, ... à écouter cette chanson en te disant : la lutte continue ... http://stephane.karmaos.com/post/226
stephane
| 12/21/2009
je vous ai trop négligée, Aurora, dans mes lectures muettes ces derniers mois. Pourquoi en ce temps de repos qui précède Noël, la fête ambigue par excellence, ai-je eu l'idée de venir sur votre site ? Et d'apprendre votre infinie douleur, qui, je le sais pour être passé par là, prime sur tout et rend inaudibles bien des paroles "encourageantes" ? Peut-être pour vous dire ma sympathie au sens étymologique du mot... Et l'admiration que j'ai pour vous me donne à espérer que dans votre nuit, vous renaitrez à la lumière. Jean
Jean
| 12/24/2009
Aurora, mon Djam vient de me demander de passer instamment ici, je n'arrive pas à lire, et j'arrive à peine à taper, je pleure trop j'ai déjà beaucoup pleuré lorsque j'avais lu une note qui n'estr pas tienne il y a trois ou quatre jours déjà sur un autre blog, depuis je ne vais pas très bien, ou alors encore plus mal! c'est étrange comme ces derniers temps j'ai éprouvé des angoisses d'agonie, d'agonisante et un manque de confiance en moi jamais égalé! j'en parl
fleurdatlas
| 12/28/2009
j'en parlais avec djam qui a fait ce qu'il a pu pour me rassurer et me soutenir, sanscomprendre le pourquoi et le comment de toutes ces manifestations ce que je peux te dire, Aurora, c'est que très souvent je ressens des choses qui ne sontr pas miennes mais qui appartiennent à d'autres que moi je sais à présent pour ces derniers jours, pour ces dernières heures et je t'offre ce commentaire bien que ne devant pas me manifester et ceci sur ordre de celui qui m'aime et que j'aime
j'espère que tu comprendras, que tu comprends et que personne n'interprètera mal mon "je t'aime!"
fleurdatlas
| 12/28/2009
Vous ne parlez plus, cela nous rend bavards. Ou alors cest linterdit ? La résilience dont parle Cyrulnik, vous savez déjà en faire usage, vous avez les ressources. "Ce qui ne tue pas..", ce pauvre adage : vous avez en vous la force des montagnes, et vous le savez bien. Pas aujourd'hui, mais demain. Prenez le temps de vous vider, pour ensuite vous remplir de force, de douceur, de vie. Prenez le temps de vous reconstruire,de vous faire du bien, entourée de ceux qui vous savent belle. Par ces mots mal employés, je vous envoie mon amour, celui que j'allais grappiller dans vos écrits, quand c'était à mon tour de perdre pied. Ne vous inquiétez pas, vous avez encore tant à construire. Au plaisir de vous lire, faites bien attention à vous. Claire
claireuh
| 12/28/2009
Bonsoir, j'ai découvert votre blog il y a peu en cherchant des photos de Serge Gainsbourg orientées BDSM.
Et en voyant ce post empli de douleur, ça m'a rappelé la mienne, différente mais enfin apprivoisée.
Sachez que quoi qu'il arrive on naît "un" et on meurt "un". Entre les deux on ne fait que vivre aux côté des autres. Une vie pleine de rencontres, mais il faut accepter qu'elles puissent finir. Tant qu'on accepte par celà, on est enchainé.
Alors plongez en vous, je suis sur que vous y trouverez la clef de vos chaines.
Amicalement Marius
Marius
| 12/28/2009
Chère Aurora, je m'autorise à venir te saluer ici (puisque l'interdit a été bravé). Je suis triste de te savoir triste et que l'Amour ne soit plus là, pour un temps, et que ce manque, que chacune d'entre nous a pu un jour ressentir, terrible blessure, anéantissement de ce que nous sommes puisque nous ne sommes qu' Amour, douleur et solitude pour seules compagnes....il faut du temps, il faut lutter, il faut tenir, il faut pleurer aussi ....Pourquoi ? Parce que nous le vallons bien, parce qu'une femme comme toi gardera le meilleur pour s'ouvrir à nouveau au monde et à l'amour comme une fleur, parce que ton parfum sera différent et provoquera d'autres entêtements, d'autres bouleversements des corps, des coeurs et des sens. J'en suis convaincue. Enfin, sache que je pense à toi, car nous sommes toutes soeurs dans ces douleurs de coeur.
hyene
| 12/30/2009
http://tahira.karmaos.com/post/66
fleurdatlas
| 12/31/2009
Je ne passe presque plus. Je passerai encore moins. Mais comment interdire qu'on te laisse un mot Aurora, si tu fais partie de ma vie URL... De tout coeur avec toi. Je n'ai pas d'autres mots mais je pense à toi.
Acrerune
| 12/31/2009
Dans la nuit, des pensées douces envoyées vers vous, Aurora. Des pensées de soutien habillées d'un bouquet de sourires posé sur l'oreiller de noires nuits blanches. Tendresse vers vous.
myr
| 1/3/2010
pensées en passant, soutien, souffle, énergie, sourire.
selva
| 1/4/2010
Je lisais ce site silencieusement, de loin en loin, comme on feuillette un recueil de poëmes. C'était une respiration. Il y a deux ans, une jeune femme a surgi dans ma vie : "Puis-je être ta soumise ? Que tu martyrises mes seins, mes fesses, mes sens, que tu étrangles ma poitrine et ma taille par des cordes trop serrées..." Je lisais ce site silencieusement, régulièrement. C'était une inspiration, comme une clairière attentive.
libre
| 1/4/2010
Libre > Merci de ce très beau commentaire. Il ma profondément touchée. Il détient en lui lessence de ce que jécrivais plus haut à propos de ce blog qui nest, désormais, plus dédié quà ses lecteurs et lectrices : « Mon voyage avec vous naura pas été inutile. ».
Merci à celles et ceux qui mécrivent fidèlement en privé. Ils/Elles savent ce quils mapportent.
Merci à ceux et celles qui viennent ici laisser quelques phrases en public. Peu à peu se tresse une guirlande, faite de vos écrits, comme si cétait vous qui, maintenant, teniez l « AuroraWeblog » Et cest moi qui passe dorénavant parfois pour vous lire.
Nous avons, de toute manière, dores et déjà rendez-vous ensemble ici le 14. Pour Bashung. Avec Bashung.
Et (qui peut jamais savoir ?) si daventure, un jour le don métait fait que les mots me reviennent, je ne manquerais pas de le saisir au vol et dentrebâiller à nouveau cette porte. Pour vous tous/tes Grâce à vous toutes/tous
AURORA
| 1/4/2010
Ce moment viendra, ça ne fait aucun doute. Aurevoir, donc.
vanillaldehyde
| 1/5/2010
J'oubliais... Votre guirlande d'écrits, je veux ce soir la rendre à chacun/e de vous en bouquet avec mes meilleurs voeux de bonheur, de santé et de sérénité pour cette année 2010 qui ne fait que commencer...
AURORA
| 1/5/2010
merci pour tes guirlandes et bouquets
au 14 donc
fleurdatlas
| 1/5/2010
Merci pour vos voeux, à mon tour je vous souhaite une bonne année et qu'elle vous offre de quoi combler vos désirs.
Marius
| 1/7/2010
:-(. J'ai voulu vous écrire, mais je n'ai plus d'adresse mail pour vous....
teberli
| 1/7/2010
Teberli> Mon adresse mail est dans le troisième pavé noir en partant du haut dans la colonne de gauche de ce blog... Je vous remercie d'avoir pensé à moi...
AURORA
| 1/7/2010
Merci de l'étourdie !!! C'est tout moi, ça !
teberli
| 1/13/2010
Le silence est un arme terrible, incompréhensible, blessante , quand il est délibéré et volontaire. J'ai connu un silence bien plus effroyable il y a quinze ans, silence d'une absence, d'une disparition, silence qui retentit encore dans mon souvenir, silence aujourd'hui d'une tombe, perdue dans un lointain cimetière d'Istanbul. Le souvenir d'un geste dérisoire et d'un romantisme suranné, une montre lancée à la volée dans le Bosphore, pour que jamais plus elle ne donne une autre heure que celle de nos amours, les eaux noires de la nuit stambouliote qui se referment sur ce bijou offert en gage, en témoignage, alors que le fouet l'avait transcendée jusqu'à l'extase, de notre lien indissoluble. Ce qui est beau dure toujours Aurora, je le sais aujourd'hui que ma peine est une compagne apprivoisée par le temps.