BDSM, Art et Mode (bis): Nobuyoshi Araki, les bondages de Lady Gaga dans le numéro de septembre 2009 du magazine « Vogue Hommes Japan ».

J'avais moi aussi fait une tentative pour écouter lady Gaga : c'est incroyablement minable et effrayant de nullité.
L'avantage des photos, c'est qu'elle ne font pas de bruit (c'est, je crois, ce que dit Kant en défendant la supériorité de la peinture sur la musique)

sourire
pas encore écouté la dame
mais j'aime ces photos

Belle analyse, magnifiques images, particulièrement la dernière. J'aime ce concept "entre la soumission et la rébellion" sans lequel aucune relation sm ne peut s'épanouir, et j'adhère d'ailleurs largement au fait qu'il faut de l'amour dans tout ça ! Je n'ai découvert votre blog que tout récemment, cela me réconcilie (infinitésimalement) avec cette forme de partage, si loin de la bêtise étalée sur la toile. Bonne journée et merci.

Mais que fait donc un artiste de la trempe d'Araki dans cette galère ?
Je suppose que le chèque était alléchant.
Lady Gaga bof... bof... bof... (pour le son et l'image !)
On est bien loin de Madonna qui était déjà à des années-lumière de Marilyn !

Ces photographies sont presque trop belles.

Comme Idalie, j'ai écouté Lady gaga. Le contenant est écrit sur le contenu.
A choisir entre les "photopeintures" d'Araki et le noir le Soulages, mon choix est fait. Quelque chose doit m'échapper pour admirer "le noir c'est vraiment noir" de Soulages...

lorsqu'on parle du noir avec Soulages, les couleurs crient... ce n'est pas immédiat mais une fois expliqué, ça parle.

Soulages? Un noir au brou de noix qui n'est pas fait pour broyer du noir.
Mais qu'il ne nous fasse pas oublier le blanc de Cy Twombly...
Celui-là, si la crainte du procès ne me retenait pas, je l'embrasserais bien !!!

Bienvenu(e)? à vous, Bouregreg...