BDSM et Photographie: Nobuyoshi Araki, « Bondages », une exposition à la Galerie Daniel Templon de Paris du 20 au 25 juillet 2009.

A vous lire avec fidélité, j'ai la faiblesse de croire que j'ai saisi le "frisson" qui vous parcourt en certaines circonstances, qui ont un "Etat-Civil", mais dont vous réfutez certains prénoms.

Merci pour cette information. Je ne manquerai pas d'aller voir l'exposition, et me frotter à la force de ces photographies que, moi aussi, je ne connais qu'au travers de l'écran de mon ordinateur.

Joël> Vous me posez une sacrée colle parce que je ne comprends pas très bien ce que vous voulez dire... Voilà bien une question que je ne me suis jamais posée!
La seule interprétation que je puisse faire de vos paroles serait que je me refuse à assumer un "Etat Civil" lorsqu'il porte certains prénoms en effet : Pauline et sa créature "O", Vanessa et sa créature "Laïka", par exemple, pour ne citer que les plus connues de celles que l'on voudrait nous faire lire comme des Evangiles...

vanillaldehyde >Ravie de vous avoir convaincu...

jamais vu, mais je verrai. on peut se faire encore une jolie soirée culturelle :-) (oh là là, que j'adore Paris!)

J'appelle "prénoms" les "Grosses Bertha" de l'artillerie SM : la grossièreté, la vulgarité, le mensonge, la goujaterie,... j'en passe et des meilleurs...
J'ai découvert votre blog, chère Aurora, au moment où je me posais des questions sur une (ma ?) sexualité parallèle...
L'une des premières phrases lues par moi de vous a été : "Il n'est pas facile d'avoir une sexualité en décalage avec le plus grand nombre. Etre en décalage avec les siens, en plus, c'est terrible !"
et
"J'ai eu connaissance de mes premiers troubles sensuels enfant devant les Angélique et les indiennes ligotées au poteau"
Votre blog fait écran et rempart devant "le grand nombre d'imbéciles qui édictent et peuplent un univers, une galaxie", et il me conforte bien souvent...