Violences faites aux femmes: "La journée de la jupe" versus le rappeur OrelSan.

j'ai vu un peu la polémique sur la page voila
il gratte les fonds de bidet pour s'assoir sur un peu de popularité ..beurk
je n'ai pas vu le film avec adjani, pas encore
j'irai
as tu remarqué, combien certaines femmes de laurenzi ressemble à adjani ?
sa chinoise,
c'est elle ...

La faible distribution du film et le caractère "rebelle provocateur d'opérette qui ose dire tout avec les mots de la le jeunesse sans cervelle" participent d'un même fonctionnement : celui de CETTE société de l'information. A vomir.
Bon dimanche, néanmoins, à toutes et à tous, jmdevesa.

Absolument d'accord avec ce que vient d'écrire JM Devesa ; la faible diffusion du film de Lilienfeld et les provocations débiles d'un crétin la casquette à l'envers sur une cervelle vide sont les deux revers de la même médaille : la société où nous vivons. A nous de ne pas cautionner ! Quand donc redresserons-nous la tête pour dire "assez déconné !" ? Ouvrez les yeux, fermez la télé, chantions-nous en mai 68...

Tout cela est vraiment dégradant (le rappeur orelsan)...Comment peut-on sortir de telles c....? .Comme vous le dites Aurora c'est un bon coup de pub. gratuite. sur le compte du vide moral actuel. Aurons nous le temps de voir apparaitre enfin une société digne de ce nom...Ce n'est pas sûr.(pour ceux de ma génération). En attendant je (nous) m' isole encore un peu plus...Beaucoup prennent cela pour du dédain vis à vis de la société actuelle, comme notre manière à nous de vivre notre vie intime; Mais c'est avant tout pour ne pas cautionner autant de médiocrité. Encore faut-il le pouvoir...Je partage l'avis de jmdevesa & idale felix.. Patrick-charles

S'agissant de "La Journée de la jupe", il est évident que les grands distributeurs se sont "dérobés".

À ce propos, je me souviens qu'un jour L., enseignante de son état, porta une longue robe noire latéralement échancrée, en simili-cuir, pour aller travailler, et qu'elle dut faire face, en l'espèce, à toute une armée de regards inquisiteurs et policiers provenant, non pas de quelque salle de classe, mais de la salle des professeurs.

Aussi bien, ce "faux mage rappeur", en creux, mais alors tout en creux, s'érige en professeur, réel ou fictif...

Je n'ai pas vu le film, mais je me sens très capable d'exploser les plombs aussi.

Sur le (t)rappeur en question, issu d'une grosse patate (ensemble mathématique) cautionné par de puissants médias, mon aigreur m'empêche de m'exprimer...
Sur "la journée de la jupe" (avec bottes), ce que j'ai lu me va assez : Isabelle Adjani, que l'on voit sans artifice, rétablit un équilibre dont on avait besoin, non ?

je ne sais rien du rappeur en question, ni de sa chanson
sans télé et avevc un accès au web très réduit, pas étonnant, c'est sûr, je ne viens on the net que pour chercher mon courrier et pour lire karmaos! (en ce moment)

j'ai par contre vu le film "la journée de la jupe" sur ARTE la semaine précédente grace à la note de Terry Laire
et pour des raisons très personnelles, j'ai choisi pour le moment de n'en rien dire, comme c'en avait été le cas pour le film "volver"

il y a des films qui parlent pour vous, de vous et qui vous rendent à la fois merveilleusement et terriblement justice

ce film est de ceux-ci pour moi
comme l'avait été "volver"

toutr est dit, je me tais
ce que j'imaginais en écrivant chez Terry qu'Adjani me ressemblait étrangement ou réciproquement s'est avéré tout-à-fait vrai au visionnage du film

j'ai vu ce film avec Djam et mes parents, on n'a rien dit lorsqu'il a été terminé, parce qu'on n'avait plus rien à dire.
Depuis des années, Djam et mes parents se battent à mes côtés, on s'est senti "compris" par ce film, voilà