Alain Bashung est parti, nous laissant dans ce monde "où subsiste encore son écho, où subsiste encore son écho...".

"Tes pensées, je les faisais miennes"

que dire de plus ?
je t'embrasse

La semaine est cruelle, c'est ce que je pensais hier, en regardant à la télévision Jean Fauque (le père d'un adolescent qui a passé une partie de ses vacances d'été l'an dernier avec mon fils, et qui a été le compagnon d'une femme qui m'est chère) parler de Bashung. Le "dandy" du rock est parti ? Un "dandy" aux multiples blessures qu'il chantait en mettant en voix les textes ciselés de Jean. Qu'à lui aussi la terre soit légère...

Un magnifique hommage, un bel adieu. Merci.
Je savais que vous l'aimiez, mais pas "à ce point là".
Partage de la peine alors.

pour moi j'a posté immédiatement lorsque j'ai su
et l'irréversible a été produit en moi
et y a produit ses fruits
je lui ai rendu un très bel hommage hier
et sa force fut en moi
je ne pleure plus

merci pour ton texte qui dit autrement ce que l'on pouvait éprouver

pensée envers tous les "dandy" et tous les blessés victorieux de la terre

communion de peine avec toi

Merci pour ce post. Tout y est juste. Je suis triste aussi, pour les mêmes raisons.
Rien à ajouter. Juste l'envie de partager ce lien ici parce que c'est peu connu et que ça en dit long sur le talent, la "jeunesse", l'ouverture et la modernité de Bashung :
http://www.youtube.com/watch?v=1sA17_c5t1Y&feature=related

merci pour le lien "summer wine"
Djam

Baschung n'était pas "ma chope de bière", mais il a inscrit dans ma mémoire : "J'ai dans mes bottes des montagnes de questions..." et : "J'ai crevé l'oreiller / J'ai dû rêver trop fort / Ca me prend les jours fériés..."
Quand à vous, Aurora, c'est dans la spontanéité de la nouvelle -sa fin annpncée- que vous vus révélez la plus touchante, attachante, authentique...