BDSM Constat: Sadomasochic !
AURORA | 17
| 1/17/2008
:-)
je passe, ayant mis les blogs de fleurdatlas à jour
Aurora, fais ou faites ce que vous sentez
pourquoi un blog serait-il forcément intime?
le « sadomasochic », voilà ce que nous n'arrivions pas à nommer hier après-midi lorsqu'en faisant nos courses dans des grandes surfaces, tout paraissait connoté BSDM, affiches, vêtements, pubs
mon épouse qui sort très peu ces derniers temps en était toute étonnée, elle ne savait pas à quel point cette "mode" se répandait partout
aspects extérieurs et très superficiels, accessoires pour rendre les partenaires attirants l'un à l'autre, faut-il supposer, mode vestimentaire ou plutôt dévêtue qui s'affiche très "tendance", uniquement dans le but de faire du fric à ce que nous imaginons, une banalisation et exposition du fait sadomasochiste, dernière découverte du futur politiquement correct ou presque des relations amoureuses ou sexuelles? Drôle d'effet, oui certes produit sur nous que notre ballade à travers magasins et centres commerciaux!
allions-nous être bientôt obligés de nous convertir à la sadomasosnobie ou mania? ou alors paraître à jamais obsolète à notre entourage?
je comprends tout-à-fait qu'en effet dans un tel contexte qui s'immiscie dans les endroits les plus les plus saugrenus ou dénués de sens et de valeurs, vous n'ayez plus envie de parler vraiment de ce sujet ou à ce sujet qui, pour vous, représente vraiment bien autre chose de vraiment sérieux et sensé.
Nous serons peu présents sur les blogs dans les temps qui suivent, pour raison de rééducation fonctionnelle (j'ai laissé des nouvelles sur kaleidoscope)
à plus tard
bonne continuation quelque soit la direction que vous prendrez
notre amitié et considération profonde à vous
DJM (pour et avec fleurdatlas)
Aurora, fais ou faites ce que vous sentez
pourquoi un blog serait-il forcément intime?
le « sadomasochic », voilà ce que nous n'arrivions pas à nommer hier après-midi lorsqu'en faisant nos courses dans des grandes surfaces, tout paraissait connoté BSDM, affiches, vêtements, pubs
mon épouse qui sort très peu ces derniers temps en était toute étonnée, elle ne savait pas à quel point cette "mode" se répandait partout
aspects extérieurs et très superficiels, accessoires pour rendre les partenaires attirants l'un à l'autre, faut-il supposer, mode vestimentaire ou plutôt dévêtue qui s'affiche très "tendance", uniquement dans le but de faire du fric à ce que nous imaginons, une banalisation et exposition du fait sadomasochiste, dernière découverte du futur politiquement correct ou presque des relations amoureuses ou sexuelles? Drôle d'effet, oui certes produit sur nous que notre ballade à travers magasins et centres commerciaux!
allions-nous être bientôt obligés de nous convertir à la sadomasosnobie ou mania? ou alors paraître à jamais obsolète à notre entourage?
je comprends tout-à-fait qu'en effet dans un tel contexte qui s'immiscie dans les endroits les plus les plus saugrenus ou dénués de sens et de valeurs, vous n'ayez plus envie de parler vraiment de ce sujet ou à ce sujet qui, pour vous, représente vraiment bien autre chose de vraiment sérieux et sensé.
Nous serons peu présents sur les blogs dans les temps qui suivent, pour raison de rééducation fonctionnelle (j'ai laissé des nouvelles sur kaleidoscope)
à plus tard
bonne continuation quelque soit la direction que vous prendrez
notre amitié et considération profonde à vous
DJM (pour et avec fleurdatlas)
Une fois de plus, je me dois de faire remonter à la surface la face cachée de l'Iceberg.
Une fois de plus, je m'en vais comparer le Moi BDSM et le Moi Gay.
On ne choisis pas d'être ou de ne pas être Gay. Ou Lesbienne. Ni Masochiste. Ni Dominateur/trice ; dans ses relations sexuelles.
Maintes et maintes fois, il a été rappellé ici -- et cela est salutaire, au sens premier du terme -- pour tous ceux/celles qui ne se comprennent pas encore.
La première difficulté, pour un homo, une soumise, une lesbienne, un dominateur, c'est de se comprendre. Puis de s'accepter. Il n'est pas possible de s'accepter sans se comprendre. Et c'est exactement à CA que servent vos écrits, passés, présents, et votre notoriété.
Sans ces écrits, ces témoignages, qui décrivent l'intime justement -- mais avec toute la pudeur nécessaire -- nombre d'adeptes (?) ou plutot d'êtres dits BDSM ne se serait compris, et n'auraient pu découvrir une sexualité finalement simple, saine, et surtout consensuelle.
Sans ces écrits, sans votre notoriété, nombre d'êtres n'auraient pu explorer leur Moi, sans se mettre un masque d'horreur dessus en se disant "je ne veut pas voir ce qui est en moi".
Aussi, bien loin de porter une bonne parole, votre blog est très utile à des fins de psychanalyse, et d'auto compréhension.
Je ne saurais vous conseiller sur un choix que vous pourriez faire quand à son avenir, pas plus que votre volonté d'agir, d'écrire, ou de rester secrète.
Par contre, il me faut encore dire et redire que ce qui fait votre qualité, et la force de ce blog, c'est cet aspect "simple" de la relation amoureuse d'un couple BDSM.
Il est possible d'avoir des relations normales, entre deux amoureux, quelle que soit leur façon de vivre leur sexualité.
C'est la démystification de ce qu'est une relation de couple BDSM, aux antipodes des usines à fantasmes et à monnaie sonnante et à cartes bleues.
Pour tout cela, merci, au nom de tous ceux qui passant par hasard sur votre Blog, y ont découvert une mine d'information pour faire leur analyse personelle.
Une fois de plus, je m'en vais comparer le Moi BDSM et le Moi Gay.
On ne choisis pas d'être ou de ne pas être Gay. Ou Lesbienne. Ni Masochiste. Ni Dominateur/trice ; dans ses relations sexuelles.
Maintes et maintes fois, il a été rappellé ici -- et cela est salutaire, au sens premier du terme -- pour tous ceux/celles qui ne se comprennent pas encore.
La première difficulté, pour un homo, une soumise, une lesbienne, un dominateur, c'est de se comprendre. Puis de s'accepter. Il n'est pas possible de s'accepter sans se comprendre. Et c'est exactement à CA que servent vos écrits, passés, présents, et votre notoriété.
Sans ces écrits, ces témoignages, qui décrivent l'intime justement -- mais avec toute la pudeur nécessaire -- nombre d'adeptes (?) ou plutot d'êtres dits BDSM ne se serait compris, et n'auraient pu découvrir une sexualité finalement simple, saine, et surtout consensuelle.
Sans ces écrits, sans votre notoriété, nombre d'êtres n'auraient pu explorer leur Moi, sans se mettre un masque d'horreur dessus en se disant "je ne veut pas voir ce qui est en moi".
Aussi, bien loin de porter une bonne parole, votre blog est très utile à des fins de psychanalyse, et d'auto compréhension.
Je ne saurais vous conseiller sur un choix que vous pourriez faire quand à son avenir, pas plus que votre volonté d'agir, d'écrire, ou de rester secrète.
Par contre, il me faut encore dire et redire que ce qui fait votre qualité, et la force de ce blog, c'est cet aspect "simple" de la relation amoureuse d'un couple BDSM.
Il est possible d'avoir des relations normales, entre deux amoureux, quelle que soit leur façon de vivre leur sexualité.
C'est la démystification de ce qu'est une relation de couple BDSM, aux antipodes des usines à fantasmes et à monnaie sonnante et à cartes bleues.
Pour tout cela, merci, au nom de tous ceux qui passant par hasard sur votre Blog, y ont découvert une mine d'information pour faire leur analyse personelle.
chère AURORA
je vais rejoindre ernest, quand il parle de la force de ton blog. tu as ouvert chez moi des fenêtre qui ne se fermeront jamais
tu m'as fait partager ta sensibilité, tes mots , tes poémes, tes photos si personnelle et que j'ai trouvées souvent touchantes et toujours belles. tu as su te mettre a nue sans jamais te déhabiller. tu nous a montré un couple qui fait dans le vrai dans l'amour, tout ce que j'aime. fais comme bon te semble, tu as raison. c'est ce qu'il faut faire sans doute. je re mercie ici pour cette clarté de sentiment, cette honnèteté que j'ai toujours trouvée chez toi. je te remercie donc. je t'embrasse, à bientôt.
je tape mais je ne vois pas la fin de mes phrases !!!!!!
je vais rejoindre ernest, quand il parle de la force de ton blog. tu as ouvert chez moi des fenêtre qui ne se fermeront jamais
tu m'as fait partager ta sensibilité, tes mots , tes poémes, tes photos si personnelle et que j'ai trouvées souvent touchantes et toujours belles. tu as su te mettre a nue sans jamais te déhabiller. tu nous a montré un couple qui fait dans le vrai dans l'amour, tout ce que j'aime. fais comme bon te semble, tu as raison. c'est ce qu'il faut faire sans doute. je re mercie ici pour cette clarté de sentiment, cette honnèteté que j'ai toujours trouvée chez toi. je te remercie donc. je t'embrasse, à bientôt.
je tape mais je ne vois pas la fin de mes phrases !!!!!!
AURORA
peut être que j'aurai du dire te déhabiller sans jamais te mettre à nue, mais je suis certaine que tu comprends ce queje veux dire ...
peut être que j'aurai du dire te déhabiller sans jamais te mettre à nue, mais je suis certaine que tu comprends ce queje veux dire ...
Je rejoins mot pour mot ce que dit Ernest.
Je suis contente de vous lire à nouveau.
moi aussi je rejoins la reflexion d'Ernest, et je vs dis merci pour votre aide.
Patrick-charles
Patrick-charles
Ernest exprime parfaitement les sentiments de nombre d'entre nous qui avons trouvé grâce à vous des réponses à nos questions. Des vraies réponses. Les "clans" bdsémiques (sans majuscules exprès) finissent par être ridicules et de plus en plus nombrilistes. Mon lien a d'ailleurs été supprimé de certains blogs : parce que j'ai posté un comm chez le Maître incriminé ? Pour vivre heureux, vivons cachés... Je continue d'écrire avant tout pour mon Guide. Encore merci à vous qui m'avez entrouvert les portes du BDSM, un BDSM intelligent et réfléchi. Il n'y a pas que des soumises décervelées et des Maîtres égoïstes. Ouf !
Chere Aurora
c'est la premiere fois que je me permets de deposer quelques mots ici...
Je me pose aussi la question d'une necessité d'organiser le parrainage bdsm d'une façon aussi rigide, ca ressemble un peu à l'admission au rotary bdsm... je ne renie pas le rôle de parrain et de marraine, j'ai trouvé des personnes qui remplissent ce role aupres de moi, à qui je peux tout demander et en qui j'ai suffisament confiance. Mais ces affinités se creent naturellement, a-t-on besoin d'orchestrer cela?
Je ne sais pas si je suis une apprentie soumise ecervelée, peut etre oui, mais ma demarche est sincere et reflechie, et donc je veux quand meme insister sur le fait que pour quelqu'un de novice,des personnes experimentées et desinteressées dans leur demarche apportent beaucoup, que ca soit par leurs paroles ou par leurs ecrits.
Je sais ce que je dois à certaines personnes de mon entourage, et leurs conseils etaient souvent bons à entendre.
Votre blog remplit ce rôle là aussi et je vous en remercie
c'est la premiere fois que je me permets de deposer quelques mots ici...
Je me pose aussi la question d'une necessité d'organiser le parrainage bdsm d'une façon aussi rigide, ca ressemble un peu à l'admission au rotary bdsm... je ne renie pas le rôle de parrain et de marraine, j'ai trouvé des personnes qui remplissent ce role aupres de moi, à qui je peux tout demander et en qui j'ai suffisament confiance. Mais ces affinités se creent naturellement, a-t-on besoin d'orchestrer cela?
Je ne sais pas si je suis une apprentie soumise ecervelée, peut etre oui, mais ma demarche est sincere et reflechie, et donc je veux quand meme insister sur le fait que pour quelqu'un de novice,des personnes experimentées et desinteressées dans leur demarche apportent beaucoup, que ca soit par leurs paroles ou par leurs ecrits.
Je sais ce que je dois à certaines personnes de mon entourage, et leurs conseils etaient souvent bons à entendre.
Votre blog remplit ce rôle là aussi et je vous en remercie
La chatte>
1) Jai découvert mes attirances pour le BDSM dans la littérature et cela lorsque jétais fort jeune.
Ensuite, pour arriver au mien, il ma fallu passer par trois phases : le construire, le déconstruire pour le reconstruire. Et là encore cela na été quaffaire de livres.
Jamais je nai eu besoin de madresser à quiconque et jaurais très mal pris que lon vienne me conseiller.
Sans que je ne demande rien, une « Sylvie » se mêla un temps de le faire, un temps très très bref seulement, ce temps quil me fallut pour comprendre quelle cherchait à exercer une emprise sur moi pour me faire échouer dans toutes mes tentatives (jalousie féminine ?).
Cela ma vaccinée des amitiés soum/soum et soum/dom (elle était « switch »).
Jai aussi croisé un « ami » de très bon conseil à son avantage. Jen souris encore.
Et sil mest arrivé de me tromper, je ne men suis prise quà moi-même.
2) Je pense que vous ne passez pas ici par hasard et savez précisément de quoi je parle.
Donc, quitte à me faire brûler lors du prochain bûcher aux sorcières, outre à trouver toute cette affaire ridicule et à récuser cette ahurissante « déclaration des droits des soumis/ses », je dis bien haut que je ne reconnais à aucun de ceux ou celles qui se trouvent mêlés/ées à cette charte une quelconque autorité pour être « parrains » ou « marraines », sinon à vouloir péter plus haut que leur c...
Ont-ils dailleurs empêché quoi que ce soit de se produire dans lévénement qui a mis leurs claviers en émoi alors quils étaient les « correspondants » de cette femme ?
Ce sont de vagues parleurs ou blogueurs du net qui nont jamais rien démontré de concret, sinon dévoquer (bien laconiquement) leurs propres parcours ou de publier les éternels « documents officiels » du BDSM.
Cest un peu comme si je revendiquais, moi, ce rôle de « marraine ». Au nom de quoi, je me le demande bien
3) Je ne crois pas au désintéressement, ni du côté des apprentis ni du côté des « se disant » expérimentés. Tout ce monde -comme lunivers-blog ou forum quel quil soit dailleurs, BDSM ou non- ne cherche quà se faire valoir soit en suscitant la compassion pour les uns soit ladmiration pour les autres.
4) Jespère bien que mon blog ne sert pas à répandre une quelconque « bonne parole ».
5) Enfin, imaginez la même situation transposée chez les dits « vanille »
Se mettent-ils en quête de conseil ? Ont-ils besoin de « Marraine la Bonne Fée » et de « charte » pour vivre leur sexualité ?
Et bien, cela nest pas plus nécessaire dans le BDSM.
Ou alors, cest que lon nest pas capable de sassumer par soi-même et il vaut mieux renoncer car on est dans ce cas la proie idéale pour tous les chasseurs de lombre.
1) Jai découvert mes attirances pour le BDSM dans la littérature et cela lorsque jétais fort jeune.
Ensuite, pour arriver au mien, il ma fallu passer par trois phases : le construire, le déconstruire pour le reconstruire. Et là encore cela na été quaffaire de livres.
Jamais je nai eu besoin de madresser à quiconque et jaurais très mal pris que lon vienne me conseiller.
Sans que je ne demande rien, une « Sylvie » se mêla un temps de le faire, un temps très très bref seulement, ce temps quil me fallut pour comprendre quelle cherchait à exercer une emprise sur moi pour me faire échouer dans toutes mes tentatives (jalousie féminine ?).
Cela ma vaccinée des amitiés soum/soum et soum/dom (elle était « switch »).
Jai aussi croisé un « ami » de très bon conseil à son avantage. Jen souris encore.
Et sil mest arrivé de me tromper, je ne men suis prise quà moi-même.
2) Je pense que vous ne passez pas ici par hasard et savez précisément de quoi je parle.
Donc, quitte à me faire brûler lors du prochain bûcher aux sorcières, outre à trouver toute cette affaire ridicule et à récuser cette ahurissante « déclaration des droits des soumis/ses », je dis bien haut que je ne reconnais à aucun de ceux ou celles qui se trouvent mêlés/ées à cette charte une quelconque autorité pour être « parrains » ou « marraines », sinon à vouloir péter plus haut que leur c...
Ont-ils dailleurs empêché quoi que ce soit de se produire dans lévénement qui a mis leurs claviers en émoi alors quils étaient les « correspondants » de cette femme ?
Ce sont de vagues parleurs ou blogueurs du net qui nont jamais rien démontré de concret, sinon dévoquer (bien laconiquement) leurs propres parcours ou de publier les éternels « documents officiels » du BDSM.
Cest un peu comme si je revendiquais, moi, ce rôle de « marraine ». Au nom de quoi, je me le demande bien
3) Je ne crois pas au désintéressement, ni du côté des apprentis ni du côté des « se disant » expérimentés. Tout ce monde -comme lunivers-blog ou forum quel quil soit dailleurs, BDSM ou non- ne cherche quà se faire valoir soit en suscitant la compassion pour les uns soit ladmiration pour les autres.
4) Jespère bien que mon blog ne sert pas à répandre une quelconque « bonne parole ».
5) Enfin, imaginez la même situation transposée chez les dits « vanille »
Se mettent-ils en quête de conseil ? Ont-ils besoin de « Marraine la Bonne Fée » et de « charte » pour vivre leur sexualité ?
Et bien, cela nest pas plus nécessaire dans le BDSM.
Ou alors, cest que lon nest pas capable de sassumer par soi-même et il vaut mieux renoncer car on est dans ce cas la proie idéale pour tous les chasseurs de lombre.
J'ai oublié -Chatte inconnue- de terminer en vous saluant bien cordialement et en vous remerciant d'être venue ici poster votre point de vue...
Ah que j'aime vous lire !
Chere Aurora, je vous remercie de votre reponse tres complete, votre avis me semble totalement respectable, juste un petit point : le parallele avec la situation "vanille"
rappelez vous votre adolescence, et les conversations avec les filles et garçons plus agés, meme avec un caractere tres independant comme le votre, n'avez vous jamais vecu ce genre de situation? :
"c'est comment quand tu embrasses une fille/un garcon? et la langue tu la tournes dans quel sens?" ...
(souvenirs souvenirs)
pour moi c'est ca le parrainage, poser des questions betes, mais bon quand on les pose on a l'air bete 5 mn, quand on ne les pose pas on reste parfois bete plus longtemps....c'est un reflexe normal, humain de se tourner vers les plus experimentés...ensuite de leurs conseils on n'en prend que ce qu'on veut bien en prendre... je ne suis pas sur qu'on soit dans la non-assumance de personnes en dangers;)
amicalement
PS : non votre blog n'est pas la bible servant à repandre la bonne parole BDSM (quoi que... ;)
rappelez vous votre adolescence, et les conversations avec les filles et garçons plus agés, meme avec un caractere tres independant comme le votre, n'avez vous jamais vecu ce genre de situation? :
"c'est comment quand tu embrasses une fille/un garcon? et la langue tu la tournes dans quel sens?" ...
(souvenirs souvenirs)
pour moi c'est ca le parrainage, poser des questions betes, mais bon quand on les pose on a l'air bete 5 mn, quand on ne les pose pas on reste parfois bete plus longtemps....c'est un reflexe normal, humain de se tourner vers les plus experimentés...ensuite de leurs conseils on n'en prend que ce qu'on veut bien en prendre... je ne suis pas sur qu'on soit dans la non-assumance de personnes en dangers;)
amicalement
PS : non votre blog n'est pas la bible servant à repandre la bonne parole BDSM (quoi que... ;)
La Chatte>
Je suis une post soixante-huitarde qui a eu entre les mains les cahiers "sexualité" très sérieux et explicatifs placés au centre d'une revue pour jeunes filles de mon époque. Si ma mémoire est bonne, ça devait être "20 ans" première formule, période Filipacchi.
Cétait très complet. Ça ma suffi. Je nai jamais demandé dautres explications.
Je parle bien d « explications » car évidemment jai fait des confidences et en ai écoutées mais pas dans le but dapprendre dune plus grande ou den renseigner une plus petite, juste celui déchanger nos histoires en toute égalité. Et avec un côté à la fois exalté et fleur bleue.
Je crois quautour de moi, nous étions toutes ainsi alors Cest sans doute une affaire de génération et de milieu ou de mentalité dans lesquels on nous a élevées.
A quinze ans, jétais déjà dans un groupe de femmes (un groupe féministe) militant.
La sexualité na jamais été un tabou pour moi, je nai même pas eu le temps de voir que ça pouvait en être un lorsque jétais adolescente.
Cest aujourdhui que je constate que cen est un pour certains/certaines.
Les temps ont bien changé. On se pense plus libre quavant, on lest beaucoup moins.
Certains films des années 70-80 ne se monteraient plus aujourdhui, du « Dernier Tango » à « La Grande Bouffe » ou « LEmpire des Sens »
AURORA, "Holy Bible free".
Je suis une post soixante-huitarde qui a eu entre les mains les cahiers "sexualité" très sérieux et explicatifs placés au centre d'une revue pour jeunes filles de mon époque. Si ma mémoire est bonne, ça devait être "20 ans" première formule, période Filipacchi.
Cétait très complet. Ça ma suffi. Je nai jamais demandé dautres explications.
Je parle bien d « explications » car évidemment jai fait des confidences et en ai écoutées mais pas dans le but dapprendre dune plus grande ou den renseigner une plus petite, juste celui déchanger nos histoires en toute égalité. Et avec un côté à la fois exalté et fleur bleue.
Je crois quautour de moi, nous étions toutes ainsi alors Cest sans doute une affaire de génération et de milieu ou de mentalité dans lesquels on nous a élevées.
A quinze ans, jétais déjà dans un groupe de femmes (un groupe féministe) militant.
La sexualité na jamais été un tabou pour moi, je nai même pas eu le temps de voir que ça pouvait en être un lorsque jétais adolescente.
Cest aujourdhui que je constate que cen est un pour certains/certaines.
Les temps ont bien changé. On se pense plus libre quavant, on lest beaucoup moins.
Certains films des années 70-80 ne se monteraient plus aujourdhui, du « Dernier Tango » à « La Grande Bouffe » ou « LEmpire des Sens »
AURORA, "Holy Bible free".
A trop se dévoiler, on prend froid...
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