Du"ô toi si prochaine et si lointaine...." de Ferrat au "Pays où l'on n'arrive jamais" d'André Dhôtel, toutes les combinaisons sont possibles... Et j'allais oublier le "pays lointain" de Jean-Luc Lagarçe.
Joel Faure
| 7/4/2007
j'aime cette douceur triste ce souvenir cette froidure de juillet