BDSM et FIAC (2): Esclave, belle plante...

A vous lire, je pense un peu à ses vénus primaires, que nous rapporta l'ère préhistorique. Certains propos d'esclaves m'ont semblé bien plus amère, tant l'autre est justement niée, dans sa dépersonalisation. Elles parlent de craintes, de punitions mais qui sont loins d 'être ludiques....

Lio> Si l'on accepte le distingo "soumise" - "esclave", très sincèrement, j'ai rencontré et lu des personnes soumises qui se disaient amères ou craintives pour maintes raisons mais des "esclaves" (des personnes se déclarant esclaves) jamais.
Par contre, ces dernières n'évoquent en effet, rien de "ludique" tant elles sont au coeur de leur condition et qu'elles revendiquent leur "dépersonnalisation".

Maintenant, à titre personnel et c'est un débat que je ne souhaite pas vraiment lancer ici (je veux dire sur cette note) l'esclave nécessiterait le 24/24, le 7/7 etc. et je ne crois pas à tout cela.
Alors... quid des belles esclaves dans leur privé-privé et sur le long terme?
C'est la question que je me pose depuis de nombreuses années...

une vraie esclave, pour moi, c'est celle à qui on propose
de temps à autre d'être la maitresse...et qui ne le refuse pas

à +

Le BDSM et le "lookisme" ... Un pan de mur doit s'écrouler.

Fichtre ! Vous avez la dent dure... Mais c'est tellement bien vu ...

Cher Eronaute,

Vous parlez sûrement de mon commentaire sur le 24/24. Parce que dans le texte plus haut, je l'ai écrit en rouge, il n'y a absolument nulle ironie...

L'esclave (ou soumise, ou peu importe, j'ai du mal à faire la distinction) tire sa fierté de celle du maître. Conséquence : en société, elle ne craint pas d'être elle-même.

Et cela fonctionne aussi pour le maître...