BDSM : L'ENCYCLOPEDIE BDSM D'AURORA 47 : G COMME GHETTO ...

Je voudrais toutefois temp*rer un point, Aurora.
Lorsque tu dis que le seul ghetto o* tu t'enfermes, * *tre "pratiquant" SM, c'est celui de ton esprit,
tu raisonne en "moiti*" *panouie. Accomplie. Tu regardes ton parcours, tu t'acceptes telle que tu es, et partage uns histoire d'amour
avec un *tre qui t'es cher, et qui partage tes jeux SM.
Si tu te replaces dans une situation o* tu es incoprise, ou plutot, dans ton cas, mal comprise. Exploit*e. Tromp*e.
Tu t'enfermes dans une histoire sans lendemain, dont tu ne peut parler * Tante Agathe ou * tes coll*gues, me trompe-je ?
Si, * l'inverse, tu partage une histoire d'amour avec quelqu'un qui ne partage pas tes jeux SM. L*, c'est lui qui t'enferme dans un ghetto. Pour lui, le jeu SM reste incopris, incompr*hensible, voire bloquant.
* De toutes fa*ons, ce n'est qu'un jeu de corde. Je suis une troisi*me main. *
Aucun partage psychologique, aucune communication. Parfois, quelques bribes, mais la compr*hension reste loin.

Par le biais de ces deux situations, je tente de t'exposer, ch*re Aurora, un point de vue que tu dois -- j'imagine avec plaisir -- oublier, l'ayant v*cu, mais ayant r*ussi * surmonter ces difficult*s, * te sortir du ghetto ou* toi -- et ton compagnon d'alors -- t'avaient enferm*e.

Enfin, un dernier cas, tragique. La violence conjugale. Souvent une affaire de machisme, parfois une domination f*minine. L* encore, il s'agit d'un ghetto, qui n'a plus rien d'ag*able pour qui subit ces violences.
Pourtant, l* encore, il s'agit bien d'une relation SM, o* l'*tre soumis de force refuse de voir les solutions qui pourraient l'en sortir, refuse de "refuser" ces violences. En d'autres mots, les accepte, comme *tant "normales".
Une personne ayant subit des violences conjugales, et s'en *tant sorti par le biais d'un interm*diaire y retombe bien souvent. Je vais choquer, je n'ai rien d'autre * avancer que mon exp*rience (ext*rieure) de tels probl*mes dans un cerain nombre de couples, mais l'*tre soumis de force _est_ bien souvent lui m*me masochiste.
Mais l*, je ne suis pas s*r que son plaisir soit * la hauteur de ses souffrances.

D'accord avec toi, Ernest et à 300% sur la seconde moitié de ton message cad refuser les violences conjugales ou assimilées qui n'ont -et c'est là que je diffère totalement de toi- pour moi rien à voir avec le BDSM....
C'est comme comparer les statistiques de viol chez les hétéros avec l'analyse "psychanalytique" de leur sexualité dite "classique"....

Pour la première partie du post, je faisais référence aux guerres fratricides qui font que les Fetish regardent les SM avec hauteur, idem chez nous entre les "hards" et les "soft" etc....
Simples affaires de famille quoi, dont tu te rends compte dès que tu es inscrit sur un groupe de diffusion....

;-)

AURORA

Lorsque je dis que les violences conjugales ont * voir avec le sado-masochisme, je ne dis pas qu'elles soient aceptables.
Hmmm... je sens effectivement le souffle du * Elle le cherche, elle l'a *. Non !
Ces violences, terribles, destructrices, innacceptables, n'ont -- par contre -- rien * voir avec les jeux BDSM dont il est question ici.

De fait, je ne compare pas les statistiques avec une quelconque psychanalyse. Ou du moins n'en ai pas l'intention. Mais le discours tenu par la femme dans de tels cas.
Refusant d'ouvrir les yeux sur la vraie nature de sa relation avec la brute. Refusant d'admettre qu'elle est battue. Consid*rant -- apr*s longues reflexions -- que c'est de sa faute si edlle est battue. Clich* ? Non. Tout comme une femme viol*e mettre des jours avant d'accepter ce qui s'est pass*, une femme battue refusera de voir la situation en face.
Elle acceptera. J'apelle cela du masochisme; mais ferais tout pour ouvrir les yeux d'une telle femme (ou homme) en de pareilles circonstances.

J'arr*te, d'autres en parlent mieux que moi de par le Grand Ternet; je ne voudrais pas prof*rer d'*neries ou de contre-sens.