Ben voilà quoi, le cavalier du fou est de retour. Bonsoir ma Dame...
Plasoc
| 9/11/2006
Celles qui en ont plus d'un dans leur sac peuvent suivre, de leurs courbes, de droites lignes.
k
| 9/11/2006
... j'ai trouvé ce qui nous unis ... c'est les liens ... vous parler de liens matériellement matérialsables ... quand sentimentalement, je parle de liens physiques et liens du coeur ... vous parler de souffrances ... quand je parle d'amour ... étons pour autant en contr-addiction ?
gui
| 9/11/2006
Plasoc> And now, Ladies and Gentlemen we introduce ...Plasoc, bloguant de nouveau by night! L'automne sera beau...
k> Des tours et détours...Et j'en profite pour conseiller ton blog-grenier grognon à peine créé...Un clic M'sieurs Dames!
Et je disM> J'ai oublié le tag "journal intime" sur cette note. Pourtant, sur toutes celles de cette "catégorie", je me sens en symbiose avec les "baladin(e)s" de l'amour... Mes liens matérialisables ne sont au fond que la partie visible des liens du coeur. Je parle, c'est vrai, de douleur (pas de souffrance) mais cette douleur est plaisir, plaisir d'amour. Alors nous avons la même addiction et ceux qui nous imagineraient "contre" seraient des aveugles qui n'auraient pas noté qu'au bout du sens c'est "tout contre" les uns les autres que vos mots et les miens chantent...
Amicalement.
AURORA
AURORA
| 9/11/2006
personellement j avais choisi l'imagee du grand huit. Le grand saut à moi c est quand tout en haut celà a fait comme un tremplin et que je n attéris que sous la gravité terrestre la plus dure. Seulement je sens que l'ascension en est toujours plus belle.
lio
| 9/11/2006
Quelle jolie manière d'exprimer que le bonheur est un état d'être. Souverain mais suffisamment humain pour conserver dans le tableau une petite case noire... qui vous dit merci en silence... de temps en temps.
F. de C.
| 9/11/2006
C'est bon de lire ce genre de texte, surtout les jours de case noire... Vous avez bien raison, il suffit de sauter !
Idalie Felix
| 9/11/2006
Je rentre de vacances un peu frusté :
En d' autres temps le printemps puis l' été étaient les saisons où fleurissaient les jupes trop cortes et les robes légères, légères...
Cette année elles sont toujours là. Mais hélasl, la mode, étrange marâtre, dominatrice, a décidé d' y adjoindre des èspèces de pantalons à la Turque qui nous laissent sur notre faim !
Cela m' a rappelé un poême que j' avais commis dans les années 80... Puis-je me permettre ?
"Montrez ...
" Montrez vos cuisses, Filles ! Montrez vos cuisses!
Que leur lumière crue, Troue notre nuit! Que votre chaire fuse, Comme des giclées d' aurore !
Montrez vos cuisses, Filles Montrez vos cuisses!
Que leur opale brune Soit l' invite à l' envol ! Que leur odeur douce , Arde notre soleil!
Montrez vos cuisses, Filles! Montrez vos cuisses !
C' est la ligne tendue Du chemin bienheureux... C' est la porte entr'ouverte Sur des enfers doux
Montrez vos cuisses Filles! Montrez vos cuisses !
Qu' on y devine encore, L' or noir des coups Cinglades bienheureuses, Qui font notre sang fou !
Ouvrez vos cuisses, Filles! Ouvrez vos cuisses !
Comme un train, Qui entre en gare, Annonce à la ville Le matin cristal, Vous promulguez NOTRE SURABONDANT PLAISIR ..."
Yves à la fleur 1980
PS Oui, je sais! le dernier vers je l' ai un peu copié sur Vehraren !
yves à la fleur
| 9/11/2006
Belle image ....... s'il ne restait aucune case noire la vie risquerait de ne pas connaître de contraste.... un peu tristounet, peut être .....
teberli
| 9/11/2006
Et bien, ravie de vous retrouver en pleine verve de vers, Yves...
Quant à vous, Mesdames, toutes, merci d'avoir saisi le sens de ce texte dont l'image photographique n'était pas, pour une fois, ni l'esprit ni le prétexte...mais seulement l'illustration en forme de clin d'oeil...