BDSM Parfum: Coup de Fouet de Caron...

tres claquant comme parfum... Un fouet de zeste fleuri

Ah! les belles et bonnes fragances des droguerie d' autrefois!
ça * sentait le savon noir et la limail de fer, l' essence de térébentine et le cuir des lanières des martinets accrochés en bottes tentatrices. Sans parler de la senteur rugueuse des cordes de chanvre...

* J' ai toujours un problème avec un point suvi de "ça"... Si je mets le "C" en majuscule il n' y a pas de cédille et ça fait "ka", bouh, pas beau ! Et si je mets "cela" c' est lourd comme un dimanche chez la tante Héllene.

Un "ti' poême" pour finir ? Celui là est tout frais pondu de ce matin dans le métro, source d' inspiration inépuisable...

Amours métropolitaines

Elle avait la blancheur noire
Qui me fait rêver à Dublin,
Et elle aimait donner à voir
Sa chair pale de satin.

Je l' avais croisée un matin
De mélancholie citadine
A la station Bréguet-Sabin.
Elle avait l' air d' une gamine.

Lorsqu' à ses poignets j' ai vu
La trace brune de liens récents,
J' ai chercher sur ses jambes nues
La zébrure d' autres châtiments...

D' un geste très prémédité,
En manière e révérence
Son kilt, un peu a tournoyé,
Pour mieux montrer sa pénitence!

Lors, je la ramenais captive,
Vers une geôle de l' ancien temps,
Et je flétri sa croupe vive,
D' un lys rouge, fort et ardent.

Fait le 06 06 06, dans le métro parisien

Yves à la Fleur (de lys ? Ha, non !)

Felice Wampouille...c'est trop, ce nom :- )

:-D

Caron... Je me souviens d'un tournage, avenue Montaigne. C'était en 83... Un clip pour le défunt groupe "heaven 17" ;-)

Euh ....
voila t'il pô que aurora nous fait une pub déguisée pour "notre dame du marais niortais" ....

pasque hein, le fouet, pour pas dire la schlague ... c'est ce qui nous attends dans un an ....

Comme quoi l'humour et la réalité se rejoignent souvent.
bises.

Yves> Merci pour ces vers.
M. aussi les trouve magnifiques. Le 06/06/06 n'avait rien de diabolique!

Parfum...
Je me souveins de "pour un homme " de Caron aussi, porté par une femme. Je l'ai souvent de le nez...

asumons et ouvrons les portes de l'extase