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auroraweblog
chère AURORA
quel texte que j'aime
sur le choix
les départs
sur ce pour toujours qui ne l'est jamais
sur ces tournages de pages
qui pèsent tant ...
où l'histoire ne peut qu'avancer
flash inutile
mais ..mais..
jeanne | 11/28/2009
flash back....
jeanne | 11/28/2009
Jeanne> Oui, tu as raison, ceci fonctionne sur le mode du « flashback ».
C’est en fait la seconde mouture de « Le Tunnel » que j’avais mis en ligne ici en juin puis effacé devant les commentaires.
Dans le premier, je mettais en scène à part égale l’homme et la femme. C’est ce personnage féminin qui a été alors compris aux antipodes de ce que je voulais qu’il représente.
Ici, retravaillée, ne reste que l’ossature, ce à quoi je tenais le plus : l’homme, la voiture, le voyage, le flashback et la femme n’est plus vue que par son regard à lui.
C’est peut-être un peu squelettique et compréhensible de moi seulement qui connais les deux versions et qui lis celle-ci à travers le prisme de mon écrit initial.
Qu’importe. Maintenant, ce texte restera tel qu’il est…

PS : Et ce sera le seul pour ce week-end car je viens seulement de rentrer du cinéma ;-))
AURORA | 11/29/2009
il est bien ce texte
je vois bien tes personnes
vivantes...

et tu as vu quoi ???
jeanne | 11/29/2009
Bien sûr ... le même homme avec les mêmes failles... mais en toute honnêteté je préférais le premier texte, plus équilibré, car là, la femme est un peu trop devenue "un fantôme" justement, "plus vue que par son regard à lui" oui c'est ça. Mais son regard à elle manque un peu non ?
A moins que tu n'aies prévu de centrer sur ce personnage féminin un texte ultérieur qui serait le pendant de celui-là ?
Gilles | 11/29/2009
Gilles>Merci (vraiment) de défendre la version "one".
Ce que je ferai de ce texte dans l'avenir, nul ne le peut le dire car nul ne peut rien dire de l'avenir et surtout de celui d'un blog.
Mais en tout cas, l'actuelle version -que je vois découpée de façon cinématographique - me satisfait pleinement.
Il faut dire que j'ai été très marquée (et donc fatalement influencée) par le documentaire, vu la semaine passée, sur "L'Enfer" de Clouzot et que je crois que je vais passer ces temps-ci par une phase minimaliste...
AURORA | 11/30/2009
Je ne doute pas que vous parviendrez à l'aboutissement (plus ou moins épuré) de ce texte, ici ou... ailleurs.
Joel Faure | 12/1/2009
Merci, Aurora, pour la belle reproduction "illustrant" votre texte.
J'aime beaucoup.
jmdevesa
jmdevesa | 12/1/2009
JM Devesa> Vous avez le nez creux; le choix de ce tableau était très réfléchi et allait de pair avec le texte.
C'est le dernier de Russolo qui soit encore "à peu près" figuratif avant que l'artiste ne devienne l'un des peintres majeurs du futurisme. Cette toile en porte d'ailleurs déjà quelques signes.
Elle est pour Luigi Russolo - comme pour le personnage de mon texte - le moment précis où quelque chose finit et où autre chose commence...
AURORA | 12/2/2009
Sourire. Chère Aurora. Vous savez que je m'intéresse aux avant-gardes artistiques du XXe siècle et que le futurisme me sollicite un peu. Ce sont les accents précisément futuristes de ce tableau qui m'ont touché.
Excellente journée, jmdevesa
jmdevesa | 12/2/2009
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