Une précision qui me semble nécessaire : il semble que la législation française ne considère pas l’activité des dominatrices professionnelles comme de la prostitution.
J’en veux pour preuve l’application de la loi dite de sécurité du territoire qui punit de prison et d’amendes non pas la prostitution (qui est une activité autorisée au titre de la liberté individuelle) mais le racolage.
Or, on voit bien que les sites des dominatrices professionnelles ne sont pas assimilés à du racolage, même passif.

Par contre, le fisc n’oubliant personne, je pense que comme les prostituées, celles-là doivent déclarer leurs revenus dans la rubrique « bénéfices non commerciaux ».

Serge> Merci pour ce superbe lien, gourmand et japonisant à souhait...