"...Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur !"
Le brodequin de torture ferait-il le poète, -- surtout en vers de douze pieds, comme on disait autrefois ?

d'autres les vernissent tels des miroirs pour voir sous les jupes des filles...

A bas les didacts de la "mode" bdsm, je ne porte que très rarement des talons très haut, tout simplement pour raison de santé, entre autres, et mon Chéri n'exige pas non plus un dress code bdsm, tant mieux, ça ne pourrait pas jouer sinon.

N'empêche que je suis sexy lors de nos jeux, bien sur, mais loin, très loin de ce qui devrait être si nous étions dans un "cercle" ou autre club, ahhhhhhh, les tenues imposées aux soumises par leurs doms, mouais, chacun voit midi à sa porte, c'est tout.

Du moment que c'est pas des Scholls, ça marche ;-))

Cette horrible image me fait penser à mon service militaire...

et jen'avais point vu ce requin dans ma godasse !! quelles dents ! brrrrr
un requin qui aurait bouffer du chien !!!!!!!
bon il se fait tard....

Aurora
certains lieux où le climat ne convienent pas à mon teint, je n'ai pas l'humeur de supporter la mauvaise foi, la mufflerie et la stupidité de certains en certain lieu
j'ai énormément de travail de montage à faire et je pense que je vais m'y consacrer avec d'autant plus d'ardeur que cej'ai reçu ce week-end les feux verts de personnes qui me les refusaient auparavent
j'espère que ma présence de passante "privilégiée" ne fera défaut à personne sur auroraweblog
si c'était le cas cependant, je pense que tu saurais où me trouver

j'aime beaucoup ta chaussure et je m'empresserais bien de m'en procurer de telles pour aller mordre le derrière de certain drôle! mais j'ai vraiment mieux à faire et à vivre.

je t'embrasse

La thématique a changé avec le nouveau portail : les Masos se rebellent !! Plus sérieusement, ce nouvel endroit est très accueillant et nous y seront bien :)

Chère Aurora,
Je pense que les uns et les autres, nous avons intérêt à ne jamais nous enfermer dans une rhétorique, dans les procédés et les clichés. Celui de la "mode" bdsm", des talons et du reste. Oui, j'aime que ma compagne porte des talons hauts. Mais je serais idiot de lui demander d'en porter systématiquement, en toutes les occasions. Etc. Ma sexualité et mon rapport à l'autre ne se nichent pas dans 10 ou 12 cm d'une chaussure haute ! Et j'ajoute que, pour moi, des jambes surgissant de Doc Martens peuvent susciter l'émoi. Et des pieds nus !!! Ici aussi, l'imagination doit être au pouvoir (sourire). JM

Cette image a fait peur à mes chats !

Intermède musical, dans la série "les Masos se rebellent " :
"These boots are made for walking
And that's just what they'll do
One of these days these boots
are gonna walk all over you"...
(Nancy Sinatra)

Chère Aurora,
"Nous l'appellerons Sophie. Les cuissardes, c'est un vieux fantasme pour elle. On la voit rarement déguisée en ravageuse, mais un peu de piment ici et là ne fait de mal à personne. D'autant qu'elle avait réussi à faire avouer à son compagnon qu'au fond, ça pourrait ne pas lui être désagréable... Elle les a achetées à un prix très raisonnable ; ce n'était pas un achat pulsionnel du tout. C'était bien pesé, bien pensé. Elle avait pris sa décision : c'était le jour "achat de cuissardes". Dans la boutique où elle les a essayées, elle a un tout petit peu hésité. Elle s'est regardée sous toutes les coutures. Elle a sauté le pas, toute fiérote.
Elle a rapporté ça chez elle en grande pompe et sur le diner aux chandelles qui a suivi, elle ne vous dira rien, sinon que cet achat n'était pas si bête...
Mais elle a voulu les porter ensuite pour une soirée chez des amis, et là, elle s'est sentie très gênée. Dans un premier temps, elle était plutôt flattée du regard des hommes, mais c'étaient des copains.
Quand d'autres gens qu'elle ne connaissait pas sont arrivés, elle s'est sentie mal à l'aise. Sans compter que, pour danser, les cuissardes, ce n'est pas l'idéal. Mais enfin, elle était fière d'avoir réussi à les porter toute une soirée, comme si c'était un défi qu'elle s'était lancé. Et en même temps, cette soirée avait été mortifiante pour elle. Bizarre...
Et depuis, elles se tiennent bien sagement comme deux petites bottes innocentes au fond du placard de Sophie.
Elle ne les a pas reportées une seule fois. Comme si, un fantasme, ça ne pouvait pas se répéter ou seulement de très loin en très loin.
C'étaient au fond les bottes d'une soirée, d'un jeu amoureux, d'une complicité. Son erreur a été de les avoir mises pour sortir. Cela a détruit quelque chose.
Elles n'étaient peut-être faites que pour la maison, l'intime, le secret."

CE TEXTE N'EST PAS DE MOI. IL A PARU DANS LA PRESSE IL Y A QUELQUES ANNEES, MAIS IL ME PARAIT BIEN REFLETER LE FOSSE ENTRE LE FANTASME... ET SON ASSOUVISSEMENT...

;-))
J'aime beaucoup le regard fripon et la langue impertinente....
Si c'est une chaussure de soumise .... sûr que le maître n'est pas celui qu'on pense .....
Qoique, en tenant compte des dents... hum... le regard n'est plus si sympa que ça ....
Ma foi.... en attendant... ;-)), c'est toujours ça de pris...