BONDAGE CULTURE : ERIC STANTON ( 1926 -1999 ).
AURORA | 9
| 1/16/2006
C'est un peu comme sur mon blog où, d'après les commentaires, la femme me lie et me lit plus volontiers que l'homme. Même pas mâle !
Je soupçonne en effet une légère tricherie ;-)))
M. n'est-il pas plutôt occupé à ? libérer Mme ???
Bon, la perception demeure un acte cognit?
;-D
M. n'est-il pas plutôt occupé à ? libérer Mme ???
Bon, la perception demeure un acte cognit?
;-D
je me pose une question... dans ce truc..bdsm..que jconnais pas bien, je sais qu'il y a des regles a suivre pour être un bon maitre, mais avec les ''punitions'' choisies par le maitres, des punitions soit psychologiques, ou physiques, des violences , si je peux dire ca comme ca, ya pas de risques que comme punition, le maitre décide de dépasser les limites des règles, d'enfreindre une regle pour punir, ou quun jour, pour aller plus loin dans son excitation, il ait envie de te voir avoir plus mal, ou plus peur, de pousser davantage tes limites, ca me ferait peur moi, enfin je sais pas exactement ce que cest alors... et jarrive ici comme ca avec cette question...Tu nes pas obligée de me répondre.
Aurora, il n'y a donc pas d'heure pour que les grands esprits se rencontrent ?
>Lysp: Chez ce bon Stanton, sûrement pas!
Mais, comme tu dis, la perception...
>p: Le BDSM, sa règle majeure , au-delà du folklore des autres règles bidon, tient dans ces mots "piqués" aux anglo-saxons : Sûr, Sain et Consensuel (Safe, Sane and Consensual).
Donc, rien de mauvais ne peut advenir, tout consistant - comme dans tout autre type de sexualité - dans l'harmonie du couple.
Tu poses la question du recul des limites et c'est vrai qu'elle fait partie du jeu mais toujours dans le même esprit: deviner l'autre, le guider, l'accompagner dans ce qui n'est que, somme toute, l'expression de ses désirs.
On ne peut cependant pas nier l'hypothèse de l'existence d'un vrai "sadisme" tel qu'on le conçoit dans la littérature ( et non comme on le croit souvent dans la vie réelle qu'il mena ) du Marquis de Sade.
C'est à dire le mal pour le mal, la destruction pour la destruction face à un autre qui n'existe qu'en tant qu'objet ( il est tard et je fais des raccourcis hé-naur-mes, les spécialistes de Sade me pardonneront au vu de l'heure).
Mais tu sais, p., le sadisme, de nos jours dans la vie quotidienne, c'est la négation de l'autre, le viol conjugal, les femmes battues parfois à mort et lorsque l'on s'intéresse aux faits divers, on s'aperçoit que ces actes de barbarie ne sont pas commis par des pratiquants du BDSM.
A ma connaissance, seules trois affaires de violence ont été jugées ces quatre dernières années qui mettaient en cause des BDSMeurs et encore l'une d'elles était un crime passionnel par jalousie.
Plasoc> Logique: ils se rencontrent chez...un troisième grand esprit!
AURORA
Mais, comme tu dis, la perception...
>p: Le BDSM, sa règle majeure , au-delà du folklore des autres règles bidon, tient dans ces mots "piqués" aux anglo-saxons : Sûr, Sain et Consensuel (Safe, Sane and Consensual).
Donc, rien de mauvais ne peut advenir, tout consistant - comme dans tout autre type de sexualité - dans l'harmonie du couple.
Tu poses la question du recul des limites et c'est vrai qu'elle fait partie du jeu mais toujours dans le même esprit: deviner l'autre, le guider, l'accompagner dans ce qui n'est que, somme toute, l'expression de ses désirs.
On ne peut cependant pas nier l'hypothèse de l'existence d'un vrai "sadisme" tel qu'on le conçoit dans la littérature ( et non comme on le croit souvent dans la vie réelle qu'il mena ) du Marquis de Sade.
C'est à dire le mal pour le mal, la destruction pour la destruction face à un autre qui n'existe qu'en tant qu'objet ( il est tard et je fais des raccourcis hé-naur-mes, les spécialistes de Sade me pardonneront au vu de l'heure).
Mais tu sais, p., le sadisme, de nos jours dans la vie quotidienne, c'est la négation de l'autre, le viol conjugal, les femmes battues parfois à mort et lorsque l'on s'intéresse aux faits divers, on s'aperçoit que ces actes de barbarie ne sont pas commis par des pratiquants du BDSM.
A ma connaissance, seules trois affaires de violence ont été jugées ces quatre dernières années qui mettaient en cause des BDSMeurs et encore l'une d'elles était un crime passionnel par jalousie.
Plasoc> Logique: ils se rencontrent chez...un troisième grand esprit!
AURORA
oh quelle vilaine énumération sexiste aurora ....
le sadisme, de nos jours dans la vie quotidienne, c'est aussi l'humiliation permanente de l'autre , la condamnation à la chasteté non désirée, ces violences psychiques qui ne se voient pas dans notre société qui refuse de voir certains bleus à l'ame ....
Par contre pour repondre à P ... le bdsm ce n'est surement pas tout le foutoir qui sévit sur le web, pale serie de copié- collé déclinée jusqu'à la nausée .
SSC : sensibles, sensés, complices ....
le sadisme, de nos jours dans la vie quotidienne, c'est aussi l'humiliation permanente de l'autre , la condamnation à la chasteté non désirée, ces violences psychiques qui ne se voient pas dans notre société qui refuse de voir certains bleus à l'ame ....
Par contre pour repondre à P ... le bdsm ce n'est surement pas tout le foutoir qui sévit sur le web, pale serie de copié- collé déclinée jusqu'à la nausée .
SSC : sensibles, sensés, complices ....
les comics comme bcp d'autres supports de dessins ont toujours eu un côté très sexuel... catwoman, superman (on sait tous qu'il mets des slips rouges... ok, elle est nulle ma blague) batman et sa tenue en cuir... enfin, bref, toujours est il que j'ai déjà vu sur certains sites de "vétéments sm" des tenues de superhéros H/F... voir le fameux déguisement en cheval (faudrait que je retrouve la photo...)
merci
Stanton, on adoooorrre !!! ah le charme fifties.
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